1. Joëlle G. (1)


    Datte: 09/12/2017, Catégories: Transexuels

    ... caressai sa jambe. Elle me redit alors doucement "Sam, je ne peux pas me taper tous les mecs du coin!". Ce jour là déjà, sans doute par crainte d’aller au bout de mes rêves, je me relevai sans rien dire et remontai mon pantalon. Elle se redressa, puis me dit "Regardes, tu as fait une marque sur ma jupe". En effet, une petite tache de liquide séminal était visible, juste à l’endroit de son pubis, là où j’avais appuyé mon sexe! Je lui fis mes excuses, époussetai la jupe avec la main et la prit dans mes bras. "On peut au moins s’embrasser" lui demandai-je. J’approchai ma bouche de la sienne et elle ne recula pas… Dix minutes plus tard, j’étais chez moi sans rien laisser paraître à ma femme. Le samedi suivant, dès que mon épouse eut quitté la maison pour se rendre à son travail, je me rendis chez Joëlle. Dieu merci, elle était chez elle. Quelques minutes à peine après mon arrivée, je lui demandai si je pouvais mettre ses bottes. Elle accepta, et je passai dans sa chambre où elle les rangeait. En pénétrant dans la pièce, j’aperçus son blouson de cuir sur le dos d’une chaise. Sans l’avoir prémédité, je m’entendis alors lui demander : "Tu voudrais bien que j’essaye ta jupe?". Je sentais que ma voix tremblait en lui posant cette question. "Laquelle?" me demanda t’elle. "Ta jupe en cuir" répondis-je. "Si tu veux" dit-elle avec un petit sourire en se dirigeant vers son armoire. Elle me tendit l’objet de ma convoitise et sortit de la chambre. Je sentis sous mes mains la douceur du ...
    ... cuir et m’accordai un instant pour l’admirer : elle était faite de panneaux de cuir et de peau cousus en diagonale les uns à coté des autres; elle tombait au-dessous du genou et s’attachait par une série de boutons-pression sur toute la hauteur. Je quittai aussitôt mon jean et mon slip et me glissai facilement dans la jupe. Je laissai les trois derniers boutons pressions détachés. C’est tout mon corps que je sentais vibrer. Mon sexe dessinait une bosse sans équivoque qui tendait le cuir. Après avoir ôté mes chaussettes, je chaussai les bottes noires à talons aiguilles et repassai dans la pièce principale. Joëlle me regarda en souriant et me dit "Finalement, ça ne te va pas mal, j’aurais pas cru!". "C’est trop bon", lui répondis-je. Elle me proposa un café et j’acceptai. Oh, la sensation de ramener la jupe sous soi pour s’asseoir sans froisser cette noble matière! Hum, bouger doucement les chevilles dans les bottes, en léger appui sur les talons! Comme il est bon et sensuel d’être une femme par moments!!! Un peu après avoir bu le café, elle me proposa de rester déjeuner chez elle; j’acceptai avec d’autant plus d’enthousiasme que pour rien au monde je n’aurais voulu quitter cette jupe et ces bottes si érotiques à mes yeux. Elle était si souple et si légère que j’avais l’impression de ne rien porter, et pourtant je sentais sans arrêt ce contact troublant du cuir sur ma peau. Elle me dit qu’il fallait aller acheter du pain à la boulangerie en bas de chez elle et me demanda ...
«12...456...12»