Joëlle G. (1)
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
Transexuels
... malicieusement si j’étais capable d’y aller ainsi vêtu. Un peu gêné, je lui dis que non. Elle y alla donc seule. Elle revint aussitôt après, et la matinée se poursuivit. Je profitais sans arrêt de cette sensation merveilleuse de déambuler dans l’appartement, perché sur huit cm de talons! Vulgairement parlant, je n’avais pas débandé depuis que j’avais féminisé mon apparence! Je lui fis remarquer la bosse qui gonflait la jupe. Je craignais un peu qu’elle n’ait peur pour sa jupe, et que cela n’interrompe mon rêve éveillé, mais son seul commentaire fut "Tu ne vas quand même pas te branler?". Je ne répondis rien… Après le repas, nous passâmes dans sa chambre pour discuter en écoutant de la musique. Je lui parlais de ce plaisir indescriptible que je ressentais à porter ses vêtements, je bougeais sur le lit pour provoquer le frottement du cuir des bottes et de la jupe sur mes membres inférieurs. J’étais à moitié allongé sur le coté droit, elle était assise sur le lit à ma gauche. Je lui expliquais la fascination que provoquait en moi la caresse du cuir, je lui dis même "Regarde, mets ta main et caresse. C’est doux, c’est magique, non?" en mettant sa main gauche sur ma fesse. Elle me caressa quelques trop courtes secondes, puis retira doucement sa main : "Il ne faudrait pas que ça se transforme en baisouille" (sic) soupira t’elle. L’après-midi se poursuivit doucement, j’aurais voulu arrêter le temps. Peu avant 18 heures, j’étais allongé sur le dos au bout du lit, mes pieds bottés ...
... reposaient sur le sol. Joëlle était à coté de moi, appuyée sur le coude. Elle me dit alors "Tu sais quoi, finalement, je trouve ça hyper excitant de te voir comme ça". Elle caressa mon genou recouvert par le cuir en regardant le coté de ma jambe dévoilé par la fente naturelle de la jupe. "C’est vrai, voir des poils qui dépassent entre le haut des bottes et la jupe, ça m’excite. Qu’est ce que tu as là dessous?" demanda t’elle en faisant sauter brusquement les pressions. Je me redressai et répondit "Ben, justement, rien. Alors, si on ne veut pas que ça se transforme en baisouille…". Je rattachai deux pressions sur le haut de la jupe, enlevai les bottes, puis la jupe elle-même et me rhabillai, avec déjà dans la tête un immense sentiment de regret et de gâchis qui ne m’a pas quitté depuis. Je réalisai que mon épouse serait à la maison d’ici une demi-heure au plus et rentrai chez moi. Quelques mois plus tard, j’ai quitté la région parisienne pour aller travailler dans les Alpes. Au fil des ans, j’ai très souvent repensé à cette journée. Je l’ai revécu des dizaines et des dizaines de fois en rêve, et là, je changeais la fin. Ce qui suit est le récit de ce que j’aurais voulu vivre. Au lieu de me relever brusquement pour masquer ma nudité, je laissais Joëlle me regarder l’entrejambe puis commencer à caresser mon sexe sans faire un geste; à sa question "Que portes-tu là dessous?", je répondais "Rien, car tu ne m’as même pas offert tes sous-vêtements". Alors, elle se relevait, ôtait son ...