1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (29) : Rachid reprend « ses droits ».


    Datte: 11/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... devenu une obsession pour la terrible Marie que me prendre mon mari (voir récit n°19) A la maternité, auprès de moi pour l’accouchement, pas davantage de Rachid. C’est Philippe qui était à mes côtés constamment, y compris pendant la naissance de ma première fille, Lucie. Philippe était attentionné, tendre, amoureux, me tenant la main, me disant combien j’étais belle alors que le travail avait déjà commencé. Sa présence constante me rassurait et contribua à ce que tout ce passe merveilleusement bien. A tout point de vue, Philippe se comportait comme le père, tandis que le géniteur ne prenait aucune responsabilité, comportement qu’il avait déjà eu envers sa précédente compagne, Sylviane (voir récit n°9). Et comme convenu, Philippe a reconnu l’enfant et a immédiatement exercé ses responsabilités de père, y compris changer les couches et faire la toilette du bébé. Il était si fier de «sa» fille que j’en arrivais à penser que c’était bien lui qui l’avait conçue. Et quelque part c’était vrai, car sans Philippe, rien ne se serait passé. Quelques semaines après, Philippe organisa le baptême républicain de notre enfant, cérémonie à laquelle nous avions invité largement. Christine (voir récits n°5, 7, 14 et 15 notamment) était la marraine et le parrain, un certain Hassan, qui était devenu, dans les circonstances que je vais raconter, mon amant et mon nouveau mâle. Je reparlerai plus tard de cette cérémonie qui fit presqu’autant scandale que mon mariage avec Philippe, quelques années ...
    ... auparavant. Quant à Rachid, il daigna réapparaître après mon retour de couches. Il ne marqua envers moi aucune tendresse et aucun intérêt envers l’enfant, qu’il avait pourtant conçu. Il nous fit juste savoir qu’il reprendrait «ses droits» sur moi dès que je serai en état, pas avant. D’ici là, il fallait que je fasse le maximum pour que mon corps soit «comme avant». Rachid fit la moue quand il sut que j’allaitais, car, du coup, mes seins restaient lourds. Philippe me poussait à rompre avec ce sale type, je ne le voulais pas, je voulais conserver mon équilibre entre la tendresse et l’amour de mon mari et la bestialité d’un amant qui m’avait déjà donné tant de plaisir. Un mois environ après l’accouchement, mon gynécologue me confirma que je pouvais à nouveau avoir des relations sexuelles. Rachid avait demandé que ce soit Philippe qui le prévienne, ce qu’il fit à ma demande insistante. Rachid le mâle Quand Rachid arriva, j’étais en train d’allaiter. Philippe était présent, car il aimait me voir donner le sein à notre fille. Je le récompensais souvent d’ailleurs en lui permettant, une fois que le bébé était rassasié, de venir à son tour goûter au nectar de sa chérie. Ses lèvres et ses mains sur ma poitrine me rendaient folles et, en général, je demandais à mon tour à pouvoir aussi le traire et avaler sa semence que j’aimais tant. Rachid, une fois de plus, ne s’encombra d’aucune tendresse. Il descendit son pantalon. Il bandait déjà et je matais l’objet de mon désir, qui m’avait tant ...
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