Mystérieuse Nathalie
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
fh,
revede,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
J’habitais dans un petit deux-pièces à la campagne, à proximité d’une grande ville. Cadre commercial, je partais tôt de chez moi et rentrais bien après l’heure de fermeture des bureaux. J’avais emménagé depuis quelques mois dans ce nouvel environnement, je vivais seul, m’étant séparé de ma dernière compagne. Je recherchais avant tout le calme. Fuir la vie citadine, avait été pour moi presque une obsession, tant je haïssais le bruit des vélomoteurs et des voitures. Je me retrouvais donc en location dans une résidence, un peu à l’écart d’un petit bourg. La nature verdoyante, le chant du coq à l’aube, faisaient ressurgir mes instincts campagnards. Petit à petit, je prenais mes marques dans ce quartier s’apparentant en semaine à une cité dortoir. En effet, au bout de deux mois, je ne connaissais toujours pas mes voisins. A l’époque, j’étais toujours célibataire. Quelques amourettes de-ci de-là, mais rien de concret, mis à part le sexe en solitaire encore et toujours. En semaine, le travail accaparait toute mon énergie, même si je ne restais pas insensible aux collègues féminines ainsi qu’aux charmantes clientes. Je pensais à elles la nuit, seul dans mon lit, en me masturbant frénétiquement. Je voyais leur fessier dansant devant mes yeux. Mes mains caressaient ensuite leur poitrine, j’embrassais leur bouche. Elles enroulaient leurs jambes autour de ma taille. Je jouissais de cette façon dans ma main, devenue ma maîtresse experte. Un chaud dimanche matin de printemps, je me ...
... prélassais encore dans mes draps. Trop fainéant pour me lever. La chaleur annonçant un été précoce me tira néanmoins du lit. Assis sur mon balcon, le soleil caressait ma peau. J’étais en short et je buvais tranquillement mon café en lisant le journal. La cigarette avait repris le dessus et je fumais trop à mon goût. Le café noir commençait à me réveiller, il fallait que je songe à prendre ma douche. Soudain, mon oreille capta un bruit d’abord anodin, je n’y prêtai pas garde sur le moment, continuant à lire ma feuille de choux. Au bout de quelques secondes, des gémissements s’échappèrent de la fenêtre la plus proche de mon balcon. Cette fois-ci, je tendis l’oreille, intéressé par cet appel voisin. De part la situation des appartements, certains balcons permettaient, si on se penchait, d’avoir une vue imprenable chez les voisins d’à côté. Et le mien avait cette particularité, découverte par cette matinée ensoleillée. Doucement je me rapprochai de la fenêtre contiguë. À travers les stores baissés à moitié, j’essayai de distinguer ce qui se tramait à proximité. Un flash ! Dans la pénombre je distinguai une femme allongée, nue, sur son lit. Brune, cheveux courts, belle poitrine à ce que je pouvais en juger, cuisses écartées, elle se caressait en introduisant un gode en son ventre. Aussitôt je me retrouvai à l’étroit dans mon short. Torse nu en plein soleil, je transpirai maintenant. La curiosité me piqua et je filai sur le palier pour lire l’identité de ma voisine sur la sonnette de sa ...