Mystérieuse Nathalie
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
fh,
revede,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
... un sexe en latex qui coulissait dans l’antre luisant. Ma main droite enserra ma hampe. Mes doigts encerclèrent le tronc dur sur lequel les veines violacées couraient sous la fine peau. Mes mouvements amples du poignet donnaient encore davantage de puissance à l’érection de ma verge. Le gland violet, tendu comme un fruit mûr, attendait fébrilement de déverser son jus. La sueur coulait sur mon front, noyant mes yeux. Mes halètements emplissaient mon séjour, mes jambes tremblaient elles aussi, comme l’ensemble de mon corps. Je sentis bouillir entre mes reins l’immensité d’un plaisir qui ne tarderait pas à m’emporter vers Nathalie. Dans la paume de ma main gauche, je pris mes lourdes bourses, de l’autre j’accélérai mes mouvements de va-et-vient avec exaltation. Enfin, du plus profond de mon être, je sentis monter un ouragan extraordinaire. L’orgasme s’annonçait gigantesque, je le sentais. — Oui, ouiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, hurlais-je. Je tombai à genoux en me déversant longuement. J’étais secoué de violents spasmes, foudroyé par le plaisir si intense. La jouissance me submergea complètement et je continuai à crier mon bonheur. Les rideaux voltigeaient au gré du petit vent, je sortis progressivement de ma torpeur. La moquette avait bu la quasi-totalité de ma sève. Le bas ventre humide, j’allai me nettoyer dans la salle d’eau. « Que diantre, quel orgasme ! », pensai-je. L’après-midi était déjà bien entamé. Le soleil réchauffait la baie vitrée ...
... donnant sur le balcon. De temps à autre, je jetai un œil furtif pour vérifier si ma belle voisine ne s’y trouvait pas. Cette jeune femme avait aiguisé ma curiosité, que faisait-elle en semaine, où travaillait-elle ? Toutes ces questions, je les ressassai inlassablement dans mon esprit. Le soir venu, j’allais fumer une cigarette sur la terrasse. Je découvris un des chats de Nathalie, assis sur la rambarde, qui m’observait avec ses grandes prunelles vertes. Je n’ai pourtant pas le gabarit d’une petite souris, mais j’avais la nette impression que le félin voulait me dévorer. — Vous avez une admiratrice, dit une voix. Nathalie se tenait accoudée nonchalamment à la balustrade, elle tirait nerveusement sur sa cigarette. — Euh, bonsoir ! Oui, je n’avais pas remarqué qu’il s’agissait d’une chatte, répondis-je.— Zoé a toujours été attirée par les fortes voix masculine. Elle voulait certainement savoir qui avait lâché de tels hurlements tout à l’heure, me susurra ma voisine en me regardant bien droit dans les yeux. Mon visage s’empourpra immédiatement, je ne puis que répondre : — Vous n’êtes pas mal non plus, vous aussi. Aucun de nous deux ne baissa les yeux. Je vis les lèvres de Nathalie aspirer goulûment la fumée par le filtre de la cigarette. Elle prenait un malin plaisir à me taquiner visuellement de cette façon. De plus, elle portait une légère nuisette si affolante que je ne puis réprimer une violente érection. J’admirai ses jambes fuselées, ses seins divinement bien moulés, son ...