1. Mystérieuse Nathalie


    Datte: 11/12/2017, Catégories: fh, revede, Oral pénétratio, fantastiqu,

    ... merveilleusement par la dextérité de la blanche plume. Bastet se cambra en redressant ses reins. Elle supplia : — Viens mon beau maintenant, prends moi, couvre-moi comme le ferait un lion. Elle m’offrit son fessier, sa fente d’amour luisait, elle appelait ma hampe. Je m’agenouillai derrière ma déesse. Mon gland frotta contre les lèvres, ce qui arracha un râle de bonheur à Bastet. D’autorité, elle m’empoigna et d’une main experte, elle me guida en son ventre chaud. Je m’accrochai à ses hanches et débutai un pilonnage que je n’imaginais pas à ce point jouissif. Mon amante se cabra plusieurs fois sous le déluge des va-et-vient. Elle m’encouragea continuellement, je devenais sa machine d’amour. — Plus vite mon beau, plus vite !! Hurlait-elle. Mon ventre claquait contre ses fesses, elle criait et rugissait à n’en plus finir. Je sentis ses muscles intimes me presser. Bastet continuait de jouir. Sa fureur orgasmique se propagea en moi. Nous étions devenus assoiffés de plaisir. Je gémis lorsque le plaisir monta progressivement de mes reins, pour se concentrer dans ma verge. La sueur coulait sur nos corps, notre peau luisait comme ointe d’huile. Enfin, la divine ...
    ... délivrance m’arracha à mon tour un hurlement inhumain, je me déversai dans le ventre de ma déesse longuement, un orgasme interminable m’acheva. Un éclair me transperça, puis plus rien. Je sombrai dans un trou noir. Que c’était bon de sentir cette douceur sous ma joue, ce parfum vanillé titillait mon nez. Je souris en ouvrant les yeux. J’avais le visage collé contre le ventre de la Femme. C’était un réveil charmant. — Ah enfin, tu es réveillé mon chéri ! La réalité me fouetta le sang, Valérie ma femme me caressait tendrement les cheveux. — T’as fait le tour du cadran mon « beau » …………chéri, tu sais ? Péniblement je me redressai, je n’avais toujours pas prononcé une parole. Mon regard se posa sur ma femme. « Dieu qu’elle est belle » fut ma première pensée, avant de rouler sur elle et de l’embrasser amoureusement. Nous fîmes l’amour en ce dimanche midi, très simplement, avec délicatesse. Le plaisir nous emporta ensemble vers la quatrième dimension du bonheur. La petite statuette féline posée sur la commode regarda le couple faire l’amour toute l’après-midi qui suivit. On aurait juré qu’un sourire se dessinait par instant sur la tête de chat….. Balou Septembre 2005 
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