1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1114)


    Datte: 11/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l’épisode N°1089) - Je suis ainsi, j’aime le cul, j’aime jouir et le gynécologue avait maintenant de quoi alimenter sa connaissance… Plus le temps passait et plus je prenais d’importance dans la vie de Monsieur le Marquis et il arrivait de plus en plus souvent qu’il m’invitât lors de sorties officielles, pour me présenter à des amis, à des confrères hommes d’affaires, ou à d’autres Maîtres de sa connaissance, souvent des Maîtres étrangers. De plus, j’étais souvent « donnée » pour des soirées privées et mondaines soit exhibée, publiquement ou pas, soit servant d’esclave au cours de repas ou de soirées privées orgiaques. Parfois, Maître faisaient venir également d’autres esclaves, mâles ou femelles, mais j’étais toujours l’esclave préférée, celle qui était placée le plus près du Noble et celle qu’il réservait pour les moments importants. Mais il arrivait aussi que le Châtelain ait des amis parmi des éleveurs de la campagne, et dans une région quoi de plus beau, de plus naturel, de plus sauvage et de plus touristique que le Vaccarès, vaste étang situé dans la Réserve Naturelle de Camargue, pays chers aux taureaux, aux diverses manades, aux flamands roses et aux éleveurs appelés manadiers juchés sur leurs chevaux typiquement camarguais, petits chevaux, endurant, à la robe grise pommelée ou pas. C’était alors des sorties très agréables car j’adore monter à cheval. Cependant ...
    ... Monsieur le Marquis ne le savait pas encore. Il était loin de tout savoir sur sa pouliche préférée. Lorsque Maître l’apprit, il jubilait à l’idée de me faire monter en Camargue, nue et en plus à cru, au milieu des manadiers, hommes durs au mal et rustres sans vouloir les vexer. C’est ce qui se passa un jour de septembre 2011. Nous quittâmes la région marseillaise, dans la Rolls-Royce conduite par Walter, celui-ci appréciait beaucoup ces sorties dans la nature loin de son beaujolais natal. L’air était frais et très iodé. La saison des corridas était terminée, Arles, Nîmes, Béziers, toutes villes de tauromachie avait clos leur saison touristique, les troupeaux de taureaux paissaient tranquillement. Les aficionados étaient heureux… Nous avions rendez-vous chez le principal Manadier du Vaccarès, ami de longue date du Noble, grand éleveur de taureaux et de chevaux camarguais. Ma présente avait été annoncée ainsi que ma qualité d’esclave. Le propriétaire, homme habitué à jauger d’un coup d’œil de la qualité de ses bêtes avait fortement apprécié le principe de la visite selon les propos que le Châtelain donnait à Walter pendant le voyage. Moi, selon mon habitude, j’avais pris place sur la banquette arrière de la Rolls-Royce, aux côtés du Maître. Assise sur le rebord du siège, les cuisses très écartées, reins cambrés, mains posées sur les cuisses, j’étais ainsi accessible à celles du Noble qui me caressait le bas des reins, la fesse tournée de son côté, la cuisse, ses doigts s’égarant dans ...
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