1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1114)


    Datte: 11/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mon entre jambes, attaquant la hampe de mon clitoris, tout cela en discourant avec Walter qui n’en perdait pas une miette dans son rétroviseur. Deux doigts du Châtelain avaient entourés mon clitoris bien dressé maintenant et entamaient une lente masturbation au début, puis plus rapide ensuite, tapotant le nez clitoridien de son pouce, toujours d’une façon tout à fait naturelle, presque sans le faire exprès…. Les kilomètres défilant et toujours en parlant avec Walter, les doigts de Monsieur le Marquis me travaillaient maintenant plus fortement, ma vue commençait de se brouiller, mes tétons durcissaient, les aréoles se fripaient, ma respiration s’accélérait, je sentais ma vulve s’ouvrir lentement, devenir humide, puis plus humide encore et encore, quand soudain, tout en poursuivant avec son Majordome un cours sur l’élevage tauromachique, Maître, tout en poursuivant aussi son escalade de mon clitoris, se saisit d’un de mes deux tétons, le faisant rouler entre ses doigts au début ce qui me fit fermer les yeux et gémir d’envies, puis le vrilla dans un sens et dans l’autre, pour finir par y enfoncer ses ongles et allonger mes tétines de femelle maintenant mûre pour jouir. Ce travail masturbatoire si excitant dura un très long moment, je ne m’étais pas rendue compte que nous étions entrés en Camargue. Quand soudain Walter dit : - Monsieur le Marquis, nous sommes suivis ! Tout en poursuivant ces manipulations, Monsieur le Marquis vit en effet des cavaliers qui suivaient la voiture… ...
    ... Rapidement il reconnut l’un des manadiers à cheval, lui fit un signe, et voilà pas moins de vingt cavaliers, entourant la Rolls-Royce, qui nous accompagnaient jusqu’au mas du Maître des lieux. Le Noble avait abaissé les vitres fumées de la voiture, laissant les cavaliers regarder la chienne que j’étais devenue, ivre d’envies lubriques non assouvies et qui se moquait éperdument d’être regardée par ces hommes rustres… Il accélérait la cadence sur mon clitoris et entrait même directement trois doigts dans ma chatte gluante, me renvoyant en arrière sur le siège. Sans honte, j’écartais plus les cuisses pour l’aider à s’enfoncer encore plus en moi, et sentir ses doigts me fouiller de la sorte, très profondément, tandis que mon clitoris était encore travaillé, et de l’autre main mes tétines vrillées, je me fichais totalement du tableau que j’offrais, sachant en plus que je faisais la joie du Maître. Poussée dans mes retranchements par les mains du Châtelain, excitée encore plus sachant que j’étais regardée, je n’en menais pas large car je n’avais pas l’autorisation du Maître, de jouir. Et le faire sans sa permission coûtait très cher, même et surtout, pour moi. Monsieur le Marquis me voulait la plus parfaite de ses femelles et ne me passait strictement rien. J’étais prévenue ! La Rolls-Royce avançait lentement sur la piste de sable, les chevaux hennissaient autour de moi, les bruits de leurs sabots rythmaient la cadence de l’ensemble, doigts et mains du Maître y compris. Quand il ...