1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1114)


    Datte: 11/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sentait que c’était le moment où je faiblissais, Maître amplifiait ses mouvements en ma chatte qu’il écartelait maintenant en tous sens, par des cercles de plus en plus évasés puis s’enfonçait d’un coup d’un seul, cognant le fond de mon sac vulvaire, me faisant dire des : - Ohhh Maî… Maîii… Maître c’est booon… trop en…vie… ! - Quoi donc petite femelle, disait-il, de quoi as-tu envie en enfonçant et tournant à nouveau ses doigts jusqu’au fond… - Jou…jouir Maî… Maître A chaque fois que j’allais dire le mot « jouir », il enfonçait à nouveau violemment ses doigts en travaillant clito et tétons… Je ne pouvais dire ce mot car à chaque fois il m’en donnait encore plus envie. Le spectacle que j’offrais aux cavaliers était dantesque, et surréaliste, ils avaient les yeux rivés dans la voiture dans laquelle je m’exhibais éhontée sans aucune pudeur ni retenue. Appuyée contre le dossier, les fesses posées sur le rebord de la banquette, les jambes relevées à hauteur du bassin, je m’offrais ainsi en toute impudeur aux doigts agiles et pervers du Maître, qui, tout à la fois, travaillait fortement mon bas-ventre, mais en même temps contrôlait complètement la montée de mon orgasme. Dans ces conditions, je n’étais plus présente, entièrement occupée par mon plaisir et celui que Monsieur le Marquis prenait en même temps que moi. J’étais déconnectée de ce qui se passait autour de la Rolls-Royce. C’est ainsi que nous fîmes les derniers kilomètres nous séparant du Mas de l’ami du Noble. Au fur et ...
    ... à mesure que nous approchions de la destination finale, j’étais de plus en plus trempée, mais de nouveaux cavaliers se joignaient aux premiers, formant une « escorte royale » à notre convoi. Armés de leurs tridents dont ils se servaient pour diriger les taureaux, avec leurs bottes de gardians, crottées, leur chemise rouge, leur foulard de même couleur noué autour du coup, et leur si typique chapeau de gardians, ils ressemblaient plus à une armée en campagne qu’à une escorte d’honneur ou de parade. La Rolls-Royce entra dans la cour du Mas, se gara, Maître ressortit ses doigts qu’il me donna à lécher : - Nettoie mes doigts ma petite salope, ils sont trempés ! Nous arrivons ! - Oui, Maître, répondis-je, excitée comme jamais. Je m’étais redressée et léchais consciencieusement les doigts sacrés du Maître, sous les yeux des gardians, qui n’en croyaient pas ce qu’ils voyaient. Si ces cavaliers sont des gens simples et rustres, plus habitués aux bêtes qu’aux soirées mondaines, aux cavalcades à cheval soit pour s’entrainer, soit pour regrouper les troupeaux, ils n’en étaient pas moins, des hommes habitués aux comportements animaux. Leurs regards ne laissaient aucun doute sur ce qu’ils pensaient faire de moi, si je leur étais offerte. Cette pensée, alors que je les regardais par la fenêtre ouverte, me troublait au point que le Châtelain s’en rendit compte et dit assez haut pour qu’ils l’entendent : - Petite salope ! Tu fantasmes sur ce qui t’arriverait si je te donnais à ces valeureux ...