Vive le foot ! - Histoires de Sexe

Vive le foot !

Mes parents sont propriétaires de meublés de tourisme sur les hauts-plateaux ardéchois. Je vais vous raconter l’aventure que j’ai vécue durant la coupe du monde de foot en 2006. J’avais loué mon gîte pour trois semaines à deux couples, un d’Alès et l’autre de Marseille, dont les maris sont frères et qui devaient séjourner en partie en couple et en partie tous ensemble. Donc, début juillet arrivent Laurence, son mari et ses deux enfants, deux garçons aussi bourrins que le père qui, sorti de la télé et du foot, ne connaît pas grand-chose. Ayant mon potager à proximité, j’y passe régulièrement et, le mercredi soir, j’aperçois Laurence, une charmante blonde de 35 ans aux cheveux longs, assez grande et bien proportionnée, qui musarde en solitaire. Je lui adresse un « bonjour » et commence à discuter, lui demandant si son séjour se déroule bien. Elle me répond qu’il serait plus agréable s’il n’y avait pas la télé et cette sacrée coupe du monde car ses hommes y sont collés tous les soirs à suivre leurs foutus matchs au lieu de profiter de la nature. N’étant pas insensible à son charme de femme épanouie, je me dis qu’il y a peut-être moyen de profiter de la bêtise de son footeux de mari et oriente la discussion vers la découverte des paysages et la faune, ce qui semble quelque peu l’intéresser. Je lui propose de l’accompagner, ce qu’elle s’empresse d’accepter et nous nous donnons rendez-vous le lendemain au moment du match. Le lendemain soir, je passe au gîte, son mari rivé à la ...

... télé me remercie de sortir sa femme (pauvre c.., si tu savais !) et voilà Laurence qui arrive avec son appareil photo numérique à la main. Elle est vêtue d’une robe mi-longue, simple, qui moule parfaitement son corps. Je lui propose d’aller vers un superbe point de vue, ou bien à un coin où on pourra sans aucun doute apercevoir des chevreuils. Elle semble plus intéressée par les chevreuils, aussi nous y allons directement. Nous laissons la voiture à bonne distance et approchons discrètement d’un abri en branchages que j’ai aménagé. Elle semble rayonner de joie que quelqu’un s’intéresse enfin à elle et me remercie à plusieurs reprises. Nous voilà devant l’abri et nous nous y glissons en silence. Je lui indique l’endroit d’où viendront sans aucun doute les chevreuils et, l’un contre l’autre, nous attendons patiemment. Subrepticement, elle cale sa tête contre mon épaule. Je ressens une certaine gêne et ma libido commence à faire effet, notamment au niveau du bas-ventre où une érection commence à se faire sentir. Ne voulant pas brusquer les choses, je n’ose bouger, quand Laurence se cale un peu plus contre moi et passe mon bras par-dessus son épaule. J’ai la main qui est juste à la hauteur de sa poitrine que j’aperçois très jolie par son décolleté. Que faire ? Je hasarde un doigt qui frôle la robe tendue par ses seins ; elle tourne son visage vers moi et en souriant cambre la poitrine vers ma main. Toujours prêt à rendre service, j’empoigne son sein et le caresse délicatement d’une ...