1. Vive le foot !


    Datte: 12/12/2017, Catégories: fh, extracon, inconnu, vacances, forêt, intermast, Oral pénétratio, extraconj,

    ... Quel nectar ! Paisiblement, je remonte le long du ventre de Laurence en le couvrant de chauds baisers avant de poser mon sexe sur ses grosses lèvres charnelles. Hummm, quelle étrange sensation que le contact de ses lèvres humides et le soyeux de son brésilien. Ses yeux dans les miens, je l’entends me susurrer : — Baise-moi ! Comment résister à une telle supplique ? Je me cambre et posément enfonce mon pieu dans sa grotte charnelle. Une vraie étuve. — Oui ! C’est bon ! Vas-y, bourre-moi ! Je vais et viens de plus en plus vite et plus profondément, mon gland bute contre le fond de sa chatte. Soudain, elle se cambre et hurle de plaisir au moment où je sens un liquide chaud suinter le long de ma colonne charnelle prête à éclater. Je me retire et gicle sur son ventre en longs jets saccadés sous le regard ravi de Laurence qui est aux anges. Nous nous allongeons côte à côte et discutons de nos vies. Elle m’explique que son mari la délaisse quelque peu, s’intéressant plus au foot et à la télé qu’à elle. Elle me remercie de la soirée et espère qu’il y en aura d’autres, me dit-elle en souriant. Posant la bouche sur la sienne tout en caressant ses seins, je lui réponds qu’il ne tient qu’à elle. L’heure tournant, nous redescendons vers le gîte où je la laisse avant de rentrer chez moi. Le lendemain soir, je retourne à mon jardin où je reçois la visite de Laurence, qui me dit que son mari n’a même pas daigné regarder les photos que nous avions prises et qu’elle est à moi quand je veux. ...
    ... Une telle proposition ne se refusant pas, je l’invite à me suivre dans une annexe où j’ai aménagé un bureau. La porte refermée, elle me fait asseoir et défait un à un les boutons de sa robe qu’elle laisse glisser au sol. Elle apparaît en guêpière bleu nuit, sans culotte, spectacle qui me provoque une érection immédiate, pour la plus grande satisfaction de Laurence qui s’approche de moi, se penche, défait mon zip et baisse mon pantalon avant de cajoler mon sexe tendu pendant que, de l’autre main, elle m’aide à retirer mon tee-shirt. Elle m’enjambe et vient frotter son sexe nu contre mon torse. Quelle étrange sensation que celle du frôlement de ses poils pubiens contre mon torse qui, sans avoir le volume d’un chippendale, est bien musclé de par mon activité agricole ! D’une main, je caresse ses fesses nues, insinuant les doigts dans son sillon fessier pendant que l’autre main câline ses tétons qui dardent hors de la guêpière. Je m’agenouille à ses pieds et, passant l’une de ses cuisses sur mon épaule, je pose ma bouche gourmande sur sa chatte que je lèche goulûment, me délectant de son doux parfum qui imprègne sa toison blonde. Je présente un puis deux doigts à l’entrée de sa grotte charnelle qui s’ouvre et je vais et viens lentement, au gré de ses gémissements de satisfaction, tout en frottant son bourgeon du pouce. Puis, lentement, elle s’écarte de moi, me refait asseoir sur la chaise et m’enjambe. Dans un chaud ballet, elle ondule le long de mon torse, avant de placidement ...