Vive le foot !
Datte: 12/12/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
vacances,
forêt,
intermast,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... rapprocher son sexe chaud de ma colonne charnelle tendue qui lentement disparaît dans son intimité. Les deux mains posées sur mes épaules nues, elle ondule frénétiquement, aspirant chaque fois un peu plus ma verge dressée. Les mains sur ses fesses, j’accompagne ses mouvements. Ses ongles se plantent dans mes épaules, elle pousse un cri de satisfaction avant de s’empaler totalement sur ma colonne et de poser la tête dans le creux de mon épaule. Nous nous enlaçons, mes mains courent le long de son dos. Elle me murmure « Merci ! ». Nous restons un long instant ainsi enlacés. — Je vais voir où mes hommes en sont, attends-moi je reviens de suite. Elle enfile sa robe et disparaît pour revenir quelques minutes plus tard. Elle s’agrippe à mon cou : — Ils sont toujours rivés à la télé et il y a prolongation. Il faut en profiter d’autant que demain mon beau-frère arrive et on pourra difficilement se voir. Je défais prestement sa robe, me colle à son dos, d’une main je pelote ses nichons et pose l’autre main sur son ventre plat avant de la glisser sur son sexe, que je caresse délicatement en roulant son clito sous mes doigts. Sentant mon membre reprendre vigueur entre ses cuisses chaudes, elle tend une main entre nos corps et caresse mon sexe. Tournant son visage vers moi et approchant sa bouche de la mienne, elle me murmure : — J’aimerais sentir ton jus ...
... couler en moi ! Tout en lui mordillant le lobe de l’oreille, je la renverse sur le bureau, écarte ses cuisses et, le sexe gonflé de désir, je me rapproche d’elle. L’attrapant par les cuisses, de mon sceptre je flatte ses lèvres charnelles, titille son clito de mon gland et l’embroche sans coup férir. Elle serre les dents pour ne pas hurler de plaisir. Mes mains courant sur son corps, je vais et viens en elle, alternant les cadences rapides et lentes. Ses yeux luisent de plaisir. Je sors mon sexe dégoulinant de ses sécrétions avant de l’embrocher plus profondément et m’immobilise. Elle joue de ses muscles vaginaux sur ma colonne et, faites-moi confiance, elle sait en jouer. Je ne vais pas tarder à jouir et elle le sent. — Oui, mon salaud, vas-y, inonde-moi ! Je veux sentir ta crème gicler en moi ! N’y tenant plus, je lâche mon jus au plus profond de son intimité en grands jets saccadés. Une salve, puis deux puis trois. Déclenchant en elle un raz-de-marée de jouissance qu’elle réussit à ne point hurler en serrant les dents. Repu, je me penche sur elle et nous nous embrassons longuement, nos langues virevoltant en un fol ballet. L’heure tourne, nous nous rhabillons et nous quittons après avoir échangé un dernier chaud baiser. Passant devant la fenêtre, j’aperçois son mari toujours planté devant la télé.« Pauvre c… ! Mais tu as bien raison après, tout… »