Scout : toujours prêt !
Datte: 13/12/2017,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
jeu,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
confession,
... vrai, après les naissances de nos deux enfants où elle a eu un gros coup de blues et où j’ai… J’avais presque oublié ces moments-là. Quel con je fais ! Je ferais mieux de la fermer car elle pourrait bien – elle a une mémoire parfaite – me rappeler ce que j’ai fait. J’avais une maîtresse. Et même si jamais elle ne m’en a parlé, elle m’a bien fait comprendre que, son blues passé, je devais revenir au lit conjugal. Je ne sais pas comment elle a su, mais elle a fait ce qu’il fallait, sans cris, sans reproches. Je décide de mettre son infidélité sous un mouchoir dans ma poche, au moins le temps de voir venir. Mais je ne sais pas ce qui m’a pris, lorsqu’elle est rentrée, toute guillerette de son après-midi de shopping à La Roche-sur-Yon. Je l’attaque : — Alors, tout s’est bien passé ?— Parfait. Avec Charlotte, on a fait les boutiques et on s’est bien marré. J’ai même acheté de la lingerie. Tu m’en diras des nouvelles… Elle me montre un paquet et accompagne son geste d’un clin d’œil censé être coquin. — Charlotte, Charlotte, elle a bon dos. Ça sert à ça, les copines.— Je ne comprends pas. Je crois que c’est autant ma remarque que le ton de ma voix qui l’intrigue. — C’est avec lui qui tu as acheté ta lingerie. Elle me regarde sans comprendre. — Tu sais très bien de qui je veux parler, ne fais pas l’innocente.— Mais, Jean, de quoi tu parles ?— Il faut être perverse pour choisir avec son amant de la lingerie à l’ intention du mari.— Mon amant, mon amant… À cet instant je vois dans ses ...
... yeux une vraie inquiétude. Elle doit se demander si je suis au courant. Mais aussi elle sait que l’absence de Gérard m’est connue et que donc ce n’est pas de lui que je parle. — Allez, avoue qu’il était avec toi. C’est même lui qui t’as déposée. Tu n’as même pas honte de t’afficher avec lui, devant ma porte, sous le regard des voisins. Un instant elle doit penser que je suis devenu fou. — Je l’ai reconnu. C’est ce grand Black que nous avons vu à la plage. J’avais bien remarqué que tu regardais entre ses cuisses. Alors, c’était bien, au moins ? Bien sûr, j’invente tout. C’est vrai qu’au tout début je voulais la pousser à avouer. Je suis persuadé que j’aurais pu la mettre en défaut, mais en chemin j’ai imaginé autre chose. Martine sait bien sur que ce Black n’a jamais existé. Mais elle hésite encore. — Tu as conscience que tu mérites une punition… dis-je sur un ton plus doux. Elle comprend, et faisant mine d’être intimidée répond : — Oui, mon chéri.— Déshabille-toi. Et mets donc cette lingerie que ton amant a choisie pour moi. Elle s’exécute. L’ambiance redevient plus sereine. Chacun connaît maintenant le rôle qu’il doit tenir. C’est vrai que c’est plus que suggestif. Maintenant il n’est plus nécessaire d’aller dans des sex-shops ; les grandes marques de lingerie proposent des choses plus que coquines. Putain… Rien que de la voir ainsi, je bande. Mais j’en veux plus. Une sorte de vengeance peut-être. — Mets-toi là ! lui dis-je en la faisant s’appuyer sur le dossier du canapé. ...