1. Scout : toujours prêt !


    Datte: 13/12/2017, Catégories: fh, couple, vacances, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, jeu, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, confession,

    ... La première claque la surprend. Je n’ai pas tapé fort ; tout au plus une pichenette sur sa fesse rebondie, mais je ne l’avais jamais fait auparavant. — Tu es une femme infidèle ! Les femmes infidèles doivent être punies ! Et je recommence. Maintenant, la surprise est passée. Après chaque claque, je caresse la fesse en poussant ma main vers sa raie. — Alors j’attends. Avoue ton infidélité. Si tu le fais et si tu me racontes, je te pardonnerai peut-être. Mais elle ne sait pas comment commencer. Alors je l’aide : — Dans la boutique, il était avec toi ?— Oui.— J’imagine qu’il t’a suivie dans la cabine.— Oui.— J’imagine que vous aviez une idée en tête. Comme je te connais, tu as choisi une cabine pas trop loin de la vendeuse.— Oui. Maintenant, je fais plus que passer mes mains : je la caresse et me glisse sous le slip. — Tu as fait tes essayages devant lui, bien sûr. Tu devais te frotter à lui pour te changer, les cabines sont très étroites. Il bandait ; je suis certain qu’il bandait. Alors, qu’as-tu fait ? Que fait une femme un peu salope qui met son amant dans cet état ? Alors Martine semble se libérer. Elle sait ce que je veux. C’est un jeu différent, excitant, nouveau, mais dangereux pour elle. J’imagine qu’elle n’a qu’à se rappeler ses coucheries avec Gérard et broder… — J’ai défait sa ceinture, j’ai fais sortir sa verge et…— Sa verge ? Épargne-moi ce langage de pucelle : ce n’est pas cette femme-là qui est avec son amant, c’est une salope qui veut de la bite ! Je veux ...
    ... entendre Martine prononcer tous ces mots crus qu’elle a envoyés à son amant, bien loin des termes policés qu’elle utilise avec moi. — Sa queue est dure, longue, très grosse. Ma main ne suffit pas pour la couvrir. Je la caresse doucement. Lui, il la pousse vers moi. Il veut que je le suce.— Tu m’étonnes… Et toi, tu as envie de prendre ce monstre dans ta bouche. Mais oui, tu en meurs d’envie ! D’ailleurs, tu coules. Regarde : ta chatte est toute mouillée.— C’est vrai. Elle sent la vanille, mais elle est grosse et si longue que je ne peux qu’en prendre le bout. Lui force, un peu comme tu le fais toi pour te branler dans ma gorge. Je résiste, mais pourtant je le suce. Je glisse ma langue vers le bas. Ses… ses boules sont énormes. Deux énormes… deux énormes couilles que je lèche. Je remonte et le pompe un long moment. Il va jouir. Je le retire de ma bouche.— Comment ? Une salope comme toi n’a pas bu sa semence ? Avec les belles couilles que tu me décris, il devait en avoir une belle quantité !— Je suis peut-être une salope, mais il n’y a que mon mari qui a le droit de jouir entre mes lèvres. La remarque ne souffre pas la contradiction ; elle paraît venir du cœur. Ainsi, son amant n’a pas le privilège récent que j’ai obtenu et renouvelé souvent depuis la fameuse "chaise du prisonnier". — Il a dû être déçu…— C’est vrai. Alors je lui ai donné une compensation.— Ah, tu es vraiment une salope ! insisté-je pour bien forcer le trait.— Oui, mon mari, un peu grâce à toi d’ailleurs. Mes amants ...