Xanths (2)
Datte: 13/12/2017,
Catégories:
Trash,
... J’étais encore passée à côté de quelque chose, et j’en payais le prix. J’avais tellement faim que je me décidai d’avaler le peu de repas étant à ma disposition : au moins, le goût ne reflétait pas l’odeur, il était plus agréable. En réfléchissant, je compris où était ma faute : je n’avais pas laissé le temps à la graine de se développer dans mon ventre ; elle n’avait pas eu le temps de grossir, d’où sa taille. Enfin, à l’époque je ne comprenais toujours pas comment elle aurait pu grossir sans que je ne lui apporte quoi que ce soit pour, mais réflexion faite, je recommençai. Pour la seconde fois, je me plaçai sur la plante et le manège se reproduisit. Une fois m’être faite engrosser une nouvelle fois, je me retirai, et attendit. Je mis plusieurs minutes avant de me rendre compte de quoi que ce soit : mon ventre s’était progressivement mis à gonfler ; mais contrairement à la première fois, je n’eus mal qu’au bout de plusieurs minutes, mais de manière moins prononcée. Je décidai d’attendre encore. Au bout d’un moment, la situation devint insupportable : je transpirais, sentais ma peau écartelée par la chose qui grossissait presque à vue d’œil dans mon ventre, affreusement douloureux. Je repris mon affaire, ce qui étonnamment stoppa la croissance de la graine, et finit par me faire venir, malgré la douleur. Cette fois je sentis la différence : l’orgasme me sembla durer des heures, j’hurlai de bonheur et de plaisir alors que la graine écartait mes chairs pour se frayer un chemin ...
... vers la lumière. Les cuisses grandes ouvertes, feulant comme une folle, mon vagin se dilata. Je me mis à convulser de plaisir : le passage de la graine, dont le diamètre devait approcher le demi-décimètre, racla sur les parois de ma vulve qui se contractait, augmentant indéfiniment mon plaisir. Finalement, la graine finit par sortir de mon ventre. Je restai plusieurs minutes allongées sur le dos, à même le sol, encore toute souriante du plaisir qui m’avait secoué. S’il y avait bien un seul et unique bon point dans ce qui m’arrivait, c’était bien de pouvoir jouir à volonté : deux doigts et quelques minutes suffisaient toujours. Finalement, j’étais parvenue à pondre une racine de près de vingt centimètres de long, pour un peu plus de cinq de large. Satisfaite (autant moralement que physiquement je dois dire), je passai à table. *** L’après-midi fut un peu plus calme, et je profitai de la vue pleinement dégagée pour ramasser quelques feuilles et branches aux alentours, qui me permettraient de me construire une couche et de faire du feu. J’eus même l’occasion de ramasser quelques tiges d’un arbre qui ressemblait à un palmier pour me confectionner un vêtement. Plus ou moins décidée à attendre le retour de Zvolk, j’y passai l’après-midi. Le résultat n’était pas vraiment à la mesure de mes attentes, et couvrait à peine mes tétons et mon intimité. Mais au moins, même si l’on devait clairement pouvoir deviner la forme de mes seins, et que le contact des feuilles sur mon buisson tendait ...