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Julie 6
Datte: 04/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
Laurent, tu viens de lire les textes que j’ai publié. Tu as aimé ces confessions. Les détails sur les lieux, sur les prénoms, tu m’as demandé de les omettre de peur de nous compromettre. Ils y sont bien enfouis. Ecrire ces textes me procure une douce excitation. En règle général, je les écris tard le soir vêtue d’un débardeur court et entièrement nue au dessous de la taille. J’ai posé une serviette sur mon fauteuil pour que l’humidité de mon sexe ne vienne pas y laisser de trace. Le fait de ne plus me faire jouir avec les doigts malgré mes masturbations me laisse dans un état d’excitation permanente. Au début, j’avais du mal à sentir le point de non retour et je me laissais aller malgré l’interdiction. Malgré mes efforts mes doigts continuaient à tourner autour de mon bouton et les spasmes me surprenaient même si, à leur annonce, je cessais toute activité. A chaque orgasme ruiné, j’avais un sentiment de culpabilité vis à vis de toi. C’est en modifiant les règles du jeu que nous avons atteint une meilleure maîtrise. C’est maintenant toi qui décide du moment de début et de fin de ces séances en m’envoyant un texto. « Maintenant » pour le signal de départ « stop » pour m’annoncer la fin de séance. J’attends maintenant ces signes de toi avec impatience. Parfois, il me surprennent alors que suis en sortie. Il faut alors que trouve un endroit pour m’isoler.Je positionne mon collier de chienne. Je me déshabille alors entièrement et assise sur les toilettes ou sur le sol je me ...
... caresse l’entrejambe en me pinçant un sein pour m’empêcher de jouir. Je me souviens qu’une fois dans la salle de bain d’une amie, j’ai failli me faire surprendre. Je n’avais pas verrouillé la porte et il a fallu que je la bloque avec le pied en toute urgence alors que j’étais haletante, excitée et béante. Les mots que j’ai relu dans tous ces épisodes donnent de moi l’image d’une fille désinhibée, ce que je suis sans doute devenue. Pourtant mon rapport à la sexualité a été un long chemin que j’ai construit à force de volonté et de porte qu’on enfonce. Bien souvent, pour mes copines le chemin a été plus intuitif, plus facile, porté par les envies que leurs hormones leur procurait. Longtemps je suis restée une petite fille sage avec mes jeux d’enfants un peu solitaire. Il est vrai que l’indifférence à mon égard de mon frère et ma sœur de 5 et 7 ans plus âgés et le fait que notre famille soit en partie recomposée n’a pas aidé à mon épanouissement. - Qu’est qu’elle nous veut la naine? C’était le refrain que mon demi-frère entonnait à chaque fois que j’essayais de me mêler à eux. Entre eux la complicité était patente. Quand ils parlaient de maman le terme qu’ils employaient était immanquablement « l’autre Salope ». Mais pas en ma présence. Visiblement, le remariage de papa n’avait pas été digéré. Mais, je l’ai compris plus tard, leur confort de vie d’étudiant, ils le devait principalement à la générosité de maman qui était le principal moteur économique du foyer, ce qui attisait leur ...