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Julie 6
Datte: 04/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... ma chambre pour voir qui c’était, quand j’ai entendu la voix de ma sœur. Visiblement, elle n’était pas seule parce qu’elle s’adressait à un garçon dont la voix grave me parvenait assourdie. Je me suis cachée, j’avais conscience je ne sais comment que j’allais être témoin de quelque chose qui ne m’était pas destinée. En effet, à cette époque, ma sœur Anne-lise n’habitait plus régulièrement à la maison puisque sa propre mère avait un appartement plus près de son école. Elle et son copain sont restés dans la cuisine à déjeuner puis je les ai entendus monter l’escalier pour entrer dans la chambre mitoyenne de la mienne. J’avais le coeur battant. Ils étaient dans la chambre et je les entendais rire et plaisanter. Visiblement il étaient enjoués. A un moment, je n’ai plus rien entendu. J’ai collé mon oreille contre la paroi pour comprendre ce qui se passait. Apparemment plus rien. Je me suis concentrée pour bien saisir ce qui se passait. J’entendais de temps en temps un bruit dans la pièce et à chaque fois mon coeur se mettait à battre plus fort, même si ce n’était que des sons anodins. Enfin j’ai perçu des gémissements. Ma frangine était en train de faire l’amour à quelques mètres de moi. J’entendais clairement sa respiration forte. A quel stade en était-elle ? A des préliminaires ou bien était-elle en train de prendre une queue ? Je m’étais moi-même déshabillée, l’oreille collée à la cloison, mes seins se collaient contre le mur froid et mes doigts touchaient ma fente devenue ...
... soudainement visqueuse. Les grincements de la literie ne me laissaient plus doute, pas plus que les soupirs d’amour puis les cris. J’étais folle et excitée dans ma tête et je me suis enfoncée un doigt dans le cul pour accompagner ce qui se passait. Enfin subitement, alors que je croyais que ça allait continuer, j’ai entendu la porte s’ouvrir. Allais-je me faire surprendre à poil dans ma chambre par Anne-Lise qui avait perçu un bruit suspect de ce côté du mur? L’eau de la douche m’a rassurée. Dans l’après-midi ils ont remis ça trois ou quatre fois. Je me souviens même que ma sœur s’est faite défoncée alors que son jules lui faisait chanter une chansonnette. A chaque coup de queue la voix se perdait dans un gémissement et je pouvais suivre la montée du plaisir à travers les mots de la chanson qui devenaient de plus en plus inarticulés. Le tout s’est achevé dans un mélange de halètement conjoints. Cet après-midi là, ma connaissance de l’acte charnel et de mon corps avait fait un bon en avant. Dans Les mois qui ont suivi, j’ai appris que le petit copain de ma sœur s’appelait Damien que c’était un grand garçon sportif d’une vingtaine d’année. Ensemble il allaient faire de la planche à voile et se retrouvaient le week-end à la maison et je suivais leurs ébats à travers la cloison. Je fantasmais un max sur ce garçon qui, au contraire de ceux de mon âge, me plaisait un max. Je vivais ma sexualité par procuration et dans mes rêves et à travers ma sœur. Je me comportais aussi comme une ...