1. Le premier courriel de Coralie - Histoires de Sexe

1. Le premier courriel de Coralie

... puis la soulevant par les fesses, la détache de la table. Je suis debout et elle est à califourchon sur mon sexe, ses bras autour de mon cou. Je m’écarte de la table et fais quelques pas dans la pièce : entraînée par son poids, Audrey s’est empalée sur ma verge et mon gland est au plus profond de sa matrice. Elle entame néanmoins des mouvements verticaux le long de ma hampe et se met à gémir ; mais cette gymnastique est fatigante (car je ne fais rien pour faciliter sa tâche, en hissant ses fesses par exemple) et elle retombe de plus en plus souvent sur ma bite. C’est à chaque fois un cri de jouissance que j’ai plaisir à entendre. Moi aussi, je fatigue. Je me rapproche de la table, la repose délicatement et reprends l’initiative. Je vais et je viens dans son vagin, pas aussi loin que lorsque j’étais debout et ses cris redeviennent des gémissements. Après une dizaine d’allers et retours, alors que je suis au plus profond d’elle, je la soulève de nouveau. Cette fois-ci, mes pas nous amènent devant l’écran où la situation a changé. Je rappelle à mon amante la règle du jeu et elle se soumet à cette remarque. Je la dépose alors délicatement sur l’accoudoir du canapé et elle me dit qu’elle va chercher dans sa chambre l’objet idéal. Je décide de la suivre et la convaincs de choisir trois modèles différents. Nous finissons de vider les bouteilles d’eau et je sens ma vessie gonflée devenir douloureuse. Pourquoi ne peut-on aller aux toilettes ? Quand nous revenons dans le séjour, je ...

... m’allonge sur le canapé et place les accessoires à portée de main. Mon sexe a quelque peu perdu de sa vigueur et Audrey doit s’activer de nouveau pour le redresser avant de s’y installer à nouveau. Paresseusement, je lui laisse reprendre l’initiative ; elle monte et descend lentement sur mon sexe tout en caressant sa belle poitrine. C’est alors que je m’empare du premier godemiché que j’ai choisi et commence par le lubrifier ; c’est un chapelet anal terminé par un anneau et, après avoir un peu tâtonné, j’introduis la première boule, de la taille d’une bille, dans l’œillet de ma partenaire. Elle y rentre sans difficulté et je poursuis la manœuvre, encouragé par la jeune femme. C’est de plus en plus délicat, car la taille des sphères va croissant : la septième et dernière est aussi grosse qu’une balle de golf. À chaque introduction, accompagnée d’un coup de rein pour investir son vagin puis d’un lent retrait, Audrey pousse un soupir de contentement dont l’intensité va croissant. Quand la septième boule est en place, je prends un peu de temps avant de commencer à les retirer tout en continuant la manœuvre avec mon sexe. Mais je me garde de retirer l’entièreté du chapelet : quand deux ou trois boules sont ressorties, je les fais à nouveau rentrer dans le petit orifice. Je continue longtemps ce petit jeu : trois sorties, deux rentrées, quatre sorties, trois rentrées et ainsi de suite. Quand je sens que Audrey a atteint le paroxysme de ce plaisir, je retire lentement le début du ...