1. Le premier courriel de Coralie
Datte: 14/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
grp,
inconnu,
nympho,
vacances,
Masturbation
entreseins,
facial,
Oral
69,
fgode,
préservati,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
uro,
occasion,
... chapelet puis, l’ayant saisi par l’anneau terminal, extrais d’un coup sec les quatre dernières boules, les plus petites. Mon amante s’abat sur moi en haletant et en prétendant, ce qui me flatte énormément, que je vais la faire mourir de plaisir. Je lui laisse à peine le temps de se remettre et lui enjoins de s’asseoir sur mon sexe en me tournant le dos. Quand ma verge est au fond de son vagin, je reprends mes lents va-et-vient pour quelques instants. Puis, je glisse mes mains sous ses fesses et manœuvre pour m’introduire dans son rectum. Le petit trou a été bien dilaté par le passage des billes de caoutchouc et mon sexe s’y introduit sans peine et même avec beaucoup de plaisir. À entendre Audrey, cette satisfaction est partagée. Je laisse mon sexe inactif et prodigue quelques câlineries à la poitrine de la jeune femme. Les tétons pointent vers le plafond et je lui enjoins de continuer la caresse avec ses mains. D’une main, je titille son clitoris puis entrouvre ses petites lèvres. J’y introduis deux doigts qui s’agitent comme pourrait le faire un sexe. De l’autre main, je récupère le second godemiché que j’avais choisi. C’est un phallus de belle taille que je porte d’abord à la bouche de mon amante. Elle agit avec lui comme elle a su faire avec ma verge, le léchant, le lubrifiant de haut en bas, s’attardant sur le gland. Quand l’objet est luisant de salive, j’en récupère la maîtrise pour le placer à l’entrée du vagin de mon amante. Je l’y introduis lentement, le plus loin ...
... possible. Quand il est bien calé au fond de la cavité, je reprends mon sexe en mouvement. J’ignore ce que ressent Audrey, mais je me régale, moi, à sentir mon phallus emprisonné dans les entrailles d’Audrey et caressé, à travers la mince paroi de chair, par l’objet en caoutchouc. Après une vingtaine de ruades, je décide de me reposer et mes mains prennent le relais, retirant et introduisant tour à tour le godemiché entre les parois humides en variant le rythme et la profondeur de l’intromission. Audrey, obéissante, s’occupe toujours de ses seins et gémit doucement. Puis je remets mon sexe en mouvement et pratique ainsi une dizaine de fois l’alternance d’activité entre le phallus véritable, planté dans l’anus d’Audrey, et l’artificiel, qui en ramone la chatte. À chaque changement, les soupirs se font plus amples, plus longs, plus vigoureux. Quand je me sens prêt à jouir et répandre ma semence, je confie le godemiché aux bons soins de ma partenaire. Elle s’en empare sauvagement et se met à se pistonner avec ardeur. À ce régime, il ne nous faut guère de temps pour jouir et crier ensemble notre satisfaction. Dès qu’elle a repris ses esprits, Audrey m’entraîne à l’extérieur, au bord de la piscine. Elle me fait allonger sur les dalles encore tièdes et se place debout à l’aplomb de mon nombril, les jambes écartées, les pieds au niveau de mes hanches. Ma queue ne se redresse pas. À vrai dire, je commence à fatiguer et j’espère que la séance est terminée pour ce soir, aussi agréables que ...