Mais qui aura les fesses de la duchesse?
Datte: 15/12/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
fdomine,
chantage,
facial,
Oral
pénétratio,
historique,
... avec un sourire espiègle. Mais…Vos fesses Madame, uniquement les délicates rondeurs de votre postérieur. Je n’oserai toucher au reste. Quel plus grand privilège que cela … ? Une nouvelle fois, ces mots troublèrent profondément Jaessa. Tout, dans les propos du comte, tournait autour sans cesse autour de ça. Elle méprisait cette attitude grossière. Mais cette fixation sur ses formes l’excitait, elle ne pouvait qu’en convenir intérieurement. — Cela ne saurait être de l’infidélité, ajouta-t-il au bout d’un moment, tout en s’approchant d’elle. Même : je n’insisterai pas si cela vous répugne à ce point… Tout en continuant à se rapprocher d’elle, il guettait alors les réactions de Jaessa. Qui restait muette et passive. L’envie, bien plus que la déception, se lisait sur son visage. Jaessa sentit alors deux mains qui, surgissant dans son dos, empoignaient ses fesses. Une sensation de chaleur l’envahit au contact de ses mains fermes et dépourvues de la moindre trace d’hésitation. Que de différences avec le toucher fébrile et hésitant de son cher mari, n’osant guère qu’effleurer ces parties charnelles ! Levant les yeux, elle lut sur le visage du compte ce regard de conquérant, s’apprêtant à savourer sa victoire proche. Les fermant alors, elle se laissait aller au plaisir de ce toucher, quand elle s’aperçut que le comte l’avait contournée, et se tenait désormais derrière elle. Après avoir copieusement malaxé ses fesses par-dessus sa robe, ses mains rapidement s’en prirent au vêtement. ...
... Elle se laissait aller, quand celui-ci en un rien de temps ôta cet habit encombrant. Désormais presque nue, elle était à sa merci. Habituée par son mari à une certaine délicatesse couplée de timidité, elle fut surprise de l’énergie débordante du comte, qui la pressa contre un mur de la pièce. Il s’était peu attardé sur ses seins, ni même sur ses hanches ou ses jambes ; ses mains s’étaient contentées d’empoigner ses fesses et de la pousser jusqu’au mur. Tel une bête affamée, il avait ôté l’essentiel, et s’était rué sur sa cible sans retenue. Elle se retrouva rapidement blottie contre le mur, tournant le dos au comte, plaqué derrière elle. Quelques secondes de répit lui laissèrent comprendre que dans son dos, le comte ne perdait pas son temps et s’apprêtait déjà à accomplir ce pour quoi il était venu. Seule sa culotte de dentelles faisait obstacle à l’envie grandissante du comte. Elle se sentit alors prise au piège. Elle sentait ce sexe tendu bloqué contre ses fesses, qui semblait vouloir chercher une entrée, qui voulait forcer le passage ; les mains du comte qui se baladaient sur ses hanches lui firent comprendre que rapidement tomberait sa dernière défense. — Si tu savais, Jaessa, combien de fois j’ai rêvé de te prendre le cul. Je suis sûr que ton Reoran n’a jamais osé. Quel gâchis ! Elle en avait envie, et la soudaine variation du ton du comte n’y changea rien. Combien de fois n’avait-t-elle pas souhaité se faire prendre ainsi ! — On y arrive. Je vais me faire la plus belle ...