Mais qui aura les fesses de la duchesse?
Datte: 15/12/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
fdomine,
chantage,
facial,
Oral
pénétratio,
historique,
La vie commençait à se ranger pour Jaessa de Kern, duchesse de Winterfell. Après ces quelques années passées à courtiser, à intriguer sans cesse, et à user de ses charmes pour arriver à la position qu’elle occupait, l’ennui guettait. Son ambition et ses qualités l’avaient servie, et bien servie : elle s’était mariée avec une haute personnalité du royaume, le duc Reoran de Kern, et de ce fait était entrée au sein de la noblesse royale. Elle avait atteint le sommet, et ne désirait plus le quitter. Sa vie conjugale morne et répétitive contrastait avec sa vivacité, l’éclat de son apparence, le soin qu’elle accordait à sa toilette. Alors qu’elle avait usé de bien des talents physiques pour en arriver là, elle était, depuis, restée fidèle à son mari. Objet de fantasmes à la cour, depuis ce fameux jour où elle s’était présentée au prestigieux Conseil Royal, elle n’en était pas moins un modèle de femme intègre et inaccessible. En privé, on parlait beaucoup de ce « chanceux de Kern », et les conversations allaient bon train quant à savoir si celui-ci profitait comme il sied du délicieux postérieur de sa femme. Dans les milieux de basse extraction, c’est en termes plus crus que les paysans répétaient souvent qu’ils aimeraient bien se farcir l’œillet de la duchesse de Kern. Elle avait beau savoir pertinemment l’effet qu’elle exerçait sur les hommes - et elle aimait ça - son statut de duchesse mariée la mettait à l’abri de toute convoitise appuyée. Si l’on mettait de côté les répliques ...
... pour le moins explicites du comte de Drangard. Ce dernier, à la sortie du premier Conseil Royal déjà, non content de la reluquer sans retenue, avait eu le culot de la complimenter sur ces fesses. Elle ne l’avait pas revu jusqu’à hier. Prétextant un entretien privé sur l’avenir des relations entre leurs duchés respectifs, il lui avait glissé, avant de la quitter, quelques remarques on ne peut plus déplacées, qui l’avaient marquée : — Je fantasme sur les formes de vos fesses depuis trop longtemps pour abandonner ma croisade. Je les aurai un jour, dame Jaessa.— Je ne fantasme pas sur vous, Sire Drangard, et ces fesses appartiennent toutes entières à mon mari. Et le comte avait répondu par ce sourire large qu’elle ne connaissait que trop bien, s’en allant sur ces dernières paroles. Cette fois-ci certes, elle avait trouvé une réplique cinglante, elle n’avait pas été prise au dépourvu. Toutefois, se remémorant les mots qu’elle avait prononcés, elle ne put s’empêcher de penser que quelque part, ils sonnaient faux. L’attitude et le sourire du comte, qui n’en fut nullement intimidé, ne pouvaient que confirmer ces pensées… Pourquoi prendrait-elle le risque de tout perdre, alors qu’elle avait eu tant de mal à en arriver là ? Elle avait conservé sa dignité, son intégrité. Elle avait réagi comme se devait de le faire une personne de son rang, une femme fidèle à son mari. Elle avait envoyé paître ce beau parleur, qui espérait ajouter à son butin de conquêtes féminines une duchesse, mariée ...