1. Mais qui aura les fesses de la duchesse?


    Datte: 15/12/2017, Catégories: fh, extracon, fdomine, chantage, facial, Oral pénétratio, historique,

    ... celui-ci n’avait encore jamais eu l’occasion de voir sa maîtresse dans une telle tenue, et il en perdit momentanément la parole. — Eh bien, Verkran, qu’il y a-t-il, parlez ?!— Mes excuses, Madame… bredouilla-t-il, non sans laisser aller son regard sur les formes de sa maîtresse. C’est… le comte de Drangard qui est arrivé et demande à entrer.— Ah ! Bien, Verkran, faites-le venir ici…. Et laissez-nous seuls ensuite, ajouta-t-elle.— Comptez sur moi, Madame. Votre… réunion se déroulera dans les meilleures conditions. Le sourire qui s’était dessiné sur ses lèvres était bien trop peu discret pour qu’il puisse échapper à la duchesse. Qu’importe ce qu’il pouvait en penser, il était à son service et garderait le silence. Tous lui sauraient gré, à elle, d’avoir préservé le duché de la guerre. Peu importait le prix à payer quand l’avenir de son fief était en jeu. Quand la porte s’ouvrit pour la seconde fois, ce fut bien, cette fois-ci, le comte de Drangard qui entra. Vêtu comme à son habitude, il était en outre affublé de son éternel sourire de conquérant. — Grand est le plaisir pour moi de vous revoir, dame Jaessa, s’exclama-t-il, lui baisant la main.— Epargnez-moi vos politesses en cet instant, messire. Ce n’est pas de gaieté de cœur que j’ai consenti à accepter votre offre, aussi venons-en à l’essentiel. La discussion prit alors un ton solennel, quand ils discutèrent point par point de la reddition du duché. En vérité, alors qu’elle négociait son avenir et sa position future, son ...
    ... esprit était ailleurs. Toutefois, elle ne pouvait que convenir que l’offre du duc était alléchante. Son avenir assuré, son titre, ses fonctions, même si certains parleraient probablement de « trahison ». Mais ce qui occupait le plus ses pensées, était la fameuse « compensation naturelle ». Le moment vint enfin où le sujet fut abordé. — Mais, Madame… pour un tel service que je vous rends, et pour votre duché… vous comprendrez que j’attende de vous une modeste mais juste compensation.— Dites-moi donc, quel est ce prix ? Le ton était ferme, mais résolu. — Vous savez, répondit-il avec un large sourire, ce qui m’intéresse. Et je ne suis pas sûr que ce soit si déplaisant pour vous ; à vrai dire je ne pense pas du tout.— Parce que vous croyez que… Le reste de sa phrase demeura en suspens quelques instants. Elle essayait de se donner une contenance de femme outragée par une telle proposition, mais les mots ne sortaient pas. Néanmoins, elle se reprit et parvint à articuler les mots qu’elle cherchait. — … que j’irais jusqu’à tromper mon mari pour sauver mon duché ?— Oh mais, Madame… qui vous a parlé d’infidélité ? La remarque la prit au dépourvu, tellement elle semblait hors de propos. Elle se demandait si ce petit jeu allait durer longtemps. Il était temps de mettre les choses au clair. — J’ai déjà surpris les regards que vous me portiez, comte, dit-elle d’une voix ferme. Je connais vos envies, et ce que vous entendez par « paiement naturel ».— Effectivement, Madame, répondit le comte ...
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