1. Fin de mission


    Datte: 15/12/2017, Catégories: fh, cérébral, revede, Masturbation humour, fantastiqu, fantastiq,

    ... entièrement dissimulé par ce tissu grossier, était sans aucun doute le plus beau dont jamais mortelle ne disposa. De son front, mes lèvres descendirent sur ses paupières et très vite sur sa bouche. Jamais je ne gouttai si onctueuse goutte de café ! Céleste se leva prestement et tenta de fuir, rouge d’une délicieuse pudeur offensée. Je n’eus aucune peine à la retenir en refermant mes bras sur elle, mon bas-ventre contre ses divines fesses et mes mains sur sa poitrine haletante. Peu après, fébriles, elles se glissèrent sous la bure à l’ample col et y trouvèrent deux petits seins très fermes aux pointes aussitôt érigées, que mes doigts délicieusement palpèrent. Céleste bascula doucement la tête en arrière et soupira d’aise, appuyant ainsi sa nuque sur mon cou pendant que ma verge déjà fort dilatée venait s’insérer dans le sillon de ses adorables fesses. Je fis tourner entre mes doigts les pointes de ses seins et même les pinçai, mais très tendrement. Elle remua le fessier, massant ainsi mon sexe. Puis elle y porta la main, sans doute pour en éprouver calibre et dureté. Apparemment satisfaite, elle se tourna, me sourit, enleva d’un geste fort gracieux son unique vêtement et se laissa tomber à genoux devant moi. Ses mains graciles s’affairèrent à dégrafer ma ceinture et à déboutonner ma braguette. Mon pantalon tomba de lui-même en me chatouillant agréablement les cuisses au passage. Puis elle fit descendre mon caleçon de lin - tissé par ma gentille cousine, cette petite-fille ...
    ... de Cybèle dont j’ai oublié le nom - et le déposa sur son banc. Elle s’allongea ensuite sur la table de vieux chêne, les fesses juste au bord et les jambes écartées. C’était une vraie blonde ! Mon phallus se frayait un chemin avec vigueur et allait triompher de son hymen quand… — Gabriel, tu n’as que trop dormi ! Tu seras en retard encore une fois. Déméter sera furieuse après toi. Rappelle-toi que tu dois tondre sa pelouse ce matin. Allez, debout ! Hop, j’enlève ce drap ! Mais tu bandes, mon petit chéri ! Tu as donc fait de beaux rêves ?— Je prenais enfin le pucelage d’une fille. Artémis, peut-être.— Présomptueux, va !— Comme c’est bizarre, les rêves. J’étais envoyé sur terre par Papy, pour lui trouver une mortelle jeune, jolie, intelligente et vierge. Enfin, il voulait remettre ça, tu comprends.— Et, en fin de compte, tu la gardais pour toi.— Oui !— Je ne te suffis donc pas ?— Oh si, tante Aphrodite ! On n’est pas responsable de ses rêves, tu le sais bien. Tu ne vas pas me laisser dans cet état ?— Tu préfèrerais peut-être une vierge, dévergondé ?— Elles ne courent pas l’Olympe ! Mais tu vois, quand j’y réfléchis, cette mortelle n’avait pas vraiment le comportement d’une pucelle. Ou alors c’est que je suis particulièrement irrésistible… Quel rêve étrange, en vérité ! Artémis n’est pas blonde, elle. Toi tu l’as été, autrefois, quand tu voulais séduire Papy, dans les temps anciens.— Tu me trouves trop vieille, petit insolent ?— Bien sûr que non, sublime Tatie ! Mais Déméter est ...