1. Les randonneurs


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, couple, forêt, collection, jalousie, noculotte, massage, humour, nature,

    ... notre bâtisse? — Ma chérie, reste encore allongée, je vais m’occuper de ton pied. Attends, je vais ouvrir les volets. J’écarte les battants et je reconnais l’individu : c’est Sylvain. Il s’est bien éloigné de la poste ! Son chien l’a égaré. Est-ce le chien qui insiste pour accomplir ces allées et venues en face de chez nous ? Je lui adresse un signe de la main. Il me voit, répond à mon geste et s’en va. — Chérie, je ne serai pas le seul absent à la marche aujourd’hui. Figure-toi que je viens de voir passer Sylvain et son toutou. Je croyais qu’il habitait loin, à la poste.— Ah! Bon, et il viendrait promener son chien jusqu’ici ? Tu es sûr de ne pas confondre Sylvain et un voisin ? Devant tant de mauvaise foi, je m’incline. Si ces deux-là ne se sont pas donné rendez-vous, ici, pendant que je marcherais gentiment par monts et par vaux, je donne ma main à couper. — C’est possible. Depuis votre écart en forêt, je le vois partout. Ce doit être une hallucination de plus.— Oh! Mon pauvre chéri. Tu me fais culpabiliser. Mais tu ne vas pas imaginer, ah! non, que je lui ai donné rendez-vous ? Oh, que je suis malheureuse ! Tu me soupçonnes d’infidélité, tu crois que je cours derrière ce pervers !— Ne pleure pas, j’ai pu me tromper, le soleil m’a ébloui. Que viendrait-il chercher dans notre quartier ? Après tout, il est bien libre d’aller se promener où il veut. Et si le hasard lui fait faire les cents pas devant chez nous, cela ne signifie pas nécessairement que tu lui as fixé un ...
    ... rendez-vous. Les pleurs redoublent, elle oublie sa cheville douloureuse et part en courant vers la salle de bain. — Attention, tu vas tomber, la bande s’est défaite. L’avertissement la bloque, elle ramasse l’extrémité de la bande et reprend sa claudication appliquée. — Chéri, viens m’aider, j’ai besoin de ton aide. Et puis, dis-moi bonjour. Elle est nue sous la douche, me tend les bras, juge l’effet de sa nudité sur mon sexe, a un sourire enjôleur. Aux baisers fades et prudents du soir succède une ventouse surprise, à réveiller le plus déprimé des maris. Nous attaquons debout avant d’aller mouiller le drap de lit. L’analgésique a supprimé la douleur, il n’en est plus question, c’est oublié. Appuyée sur les talons elle soulève son bassin pour offrir son sexe en attente, pour réclamer le baiser de braise sur sa vulve gonflée de désir. On est bien au lit pour s’aimer, sans risque d’être dérangé, sans peur des fourmis ou des araignées. Je prends Anne, je la maintiens sur le dos, mes mains encerclent ses chevilles renversées sur ses épaules et je lui prouve qu’il a suffi d’une nuit pour recharger mes batteries. Quand elle crie, ce n’est pas de douleur, croyez-moi. Et pour une fois, sans remords ni regrets, planté au fond du vagin, je déverse à l’entrée de l’utérus une double ration de sperme dont les jets successifs provoquent un orgasme d’une intensité de 9 sur l’échelle de Richter. C’est en tout cas ce qu’il me plaît de penser. Et Anne ne semble pas simuler son plaisir. Je devrais ...
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