1. Esprit, es-tu là ?


    Datte: 18/12/2017, Catégories: grosseins, forêt, cérébral, entreseins, nopéné, nonéro, fantastiqu, sorcelleri,

    ... me présentant l’élue de son cœur. o000o Pour réussir à dégotter une fille qui veuille bien m’accompagner à notre réunion de vieux frères, j’ai dû pas mal ramer. C’est vrai que j’aurais mieux fait de m’abstenir plutôt que de commencer par contacter les filles avec lesquelles j’avais flirté lors de soirées étudiantes. À chaque fois, bien que je n’en conserve aucun souvenir (satané alcool !), je leur avais laissé l’espoir d’un lendemain, l’espoir d’une histoire d’amour naissante, tandis que le fameux lendemain, j’avais grand peine à me souvenir de la veille ! Et je peux vous dire que lorsque vous venez d’oublier le prénom de la fille avec laquelle vous avez passé la nuit, elle tire généralement une de ces tronches qui vous fait comprendre qu’il vaut mieux décamper avant de vous enfoncer un peu plus. Puis, Pauline et son opulente poitrine sont apparues dans mon esprit. Cette fille est assise à côté de moi en Histoire de l’art, une option que j’ai choisie par dépit et où je passe le plus clair de mon temps à somnoler, les cours ayant lieu de 18 h à 20 h, ou à mater la volumineuse poitrine de ma studieuse voisine qui ne perd pas une miette de ce que dit le prof et le consigne sur des copies doubles à une vitesse qui ferait pâlir de jalousie n’importe quel greffier. J’admire ses connaissances, mais, pour être trivial, j’admire encore plus ses nibards, ses longues jambes ainsi que son joli cul moulé dans ses jeans. Elle porte des lunettes bleues assorties à la couleur de ses yeux, ...
    ... mais ne s’habille jamais de manière sexy et encore moins provocante. Elle est plutôt du style pantalon avec de gros pulls en hiver et d’amples tee-shirts quand le temps le permet. Je ne suis jamais parvenu à deviner la forme d’un téton en surimpression sur le tissu malgré mes multiples efforts. Je crois qu’elle est gênée de posséder de si gros lolos. Du coup, elle se sape en conséquence avec des espèces de maillots de basket qui ont dû appartenir à Shakile O’ Neil pour arriver à masquer ses deux obus que j’ai souvent imaginé caresser. Bon d’accord, il m’est aussi arrivé de voir ma queue coulisser entre ses seins qu’elle aurait préalablement oints d’une huile de massage. Je l’avoue, sa petite langue lapait aussi mon gland dans mes rêves les plus fous et, la plupart du temps, je finissais en éjaculant sur sa volumineuse poitrine ou sur ses lunettes de première de la classe, un fantasme qui m’obsède depuis qu’elle se trouve à mes côtés en Histoire de l’art. Jusqu’à il y a peu, elle ne m’accordait pas la moindre attention. Puis, un jour, prenant mon courage à deux mains, je lui ai proposé d’aller prendre un verre. Et là, à ma grande surprise, elle a accepté. J’étais content, mais on a quand même dû se taper les deux heures d’Histoire de l’art ! Il était hors de question qu’elle sèche le cours ! À 20 h 15, nous étions attablés dans un rade à côté de la fac où bon nombre de nos congénères faisaient la fête en se prenant des bières, ou des Pastis au mètre pour les plus téméraires, ...
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