Dame Erika (2)
Datte: 18/12/2017,
Catégories:
Divers,
... pratique à la salle de sport. — Oh, les filles, une petite élongation de la colonne c’est pas mal, mais pas plus : je ne veux pas finir comme le pauvre mec sur la gravure, déconnez pas ! *************************************************************************** ÉLISE Avec Tina, on vient d’installer Pat sur la table ; je crois qu’il a l’air d’aimer ça. On l’a ficelé sur le truc, et après on lui a tiré dessus avec le machin à cliquets ; pas trop non plus. J’ai vu qu’il commençait àbander, une belle bosse sur son short. Il est chaud, ce mec ! Oui, après tout c’est normal, il est Marseillais. Comment il dit ? « Ohputain, vacheté de con ! » ? Un truc dans ce genre. Nous avons aussi ligoté Tom sur un fauteuil en métal hérissé de pointes ; ça ne doit pas être terrible, ce machin-là ! Sur la fiche, il est indiqué que le bourreau allumait un feu en dessous de l’assise, et le supplicié était cuit par le cul pendant que les pointes lui transperçaient les chairs. C’est horrible comme torture, ce truc-là ! Qu’est-ce qu’il devait en baver, le pauvre bougre… Ils étaient complètement malades, à cette époque ! Heureusement qu’il y a un coussin sur les pics, car autrement le pauvre Tom serait déjà tout transpercé. De vrais barbares, ces gens là ! Nous faisons le tour de la pièce ; le nombre d’instruments de torture qu’il peut y avoir ! Je n’ai jamais vu ça, même à la boutique de Xstory ; ce sont de petits joueurs, à côté de ça ! Tout ça commence à mefoutre la chair de poule ; je ne suis ...
... pas fière du tout. Il ne manque plus que les automates, et on se croirait au « Phantom Manor » de Disneyland à ; j’y suis allée avec ma copine, et j’ai eu les jambes en coton pendant toute la journée tellement ça m’a foutu la trouille. Nous regardons tous ces instruments bizarres, mais le mieux ce sont les deux garçons attachés, et Pikat qui bande à moitié ; je suis morte de rire ! Mais, bien sûr, le Marseillais, il faut qu’il l’ouvre, sa grande gueule ! *************************************************************************** PAT — Erika ! Tu devrais attacher les donzelles sur les croix, pour voir. Prends des photos, histoire d’avoir un souvenir… lui dis-je. — Il a raison. Allez, les filles, en position ! ordonne Erika. Elles rouspètent un peu mais se laissent attacher le dos à la croix, bras en l’air, la robe au ras de la founette. « J’ai l’impression qu’elles n’ont pas deculotte… Putain, elles sont chaudes ! Humm, peut-être qu’il y a moyen de… Oh, t’imagines se taper deux gouinasses comme ça, là, attachées les bras en l’air ? Une main au cul, et hop, un coup de quéquette vite fait. Le pied, quoi ! Oh, putain, je ne te dis pas, oh con ! » Mon inconscient est en train de me souffler des trucs pas bien. « Mais quand même, t’imagines les deux, là ? » Eh non, je ne peux pas : il y a ma copine. Elles peuvent nous contempler et rire de nous dans notre posture des plus inconfortables… Si elles rient, nous on se mate les gonzesses, la robe à la limite du panier. Quel spectacle ! ...