Dame Erika (2)
Datte: 18/12/2017,
Catégories:
Divers,
... vuqvddmw Joueuse, Erika se saisit d’un fouet et le faitclaquer sur le sol, de plus en plus près des cuisses des filles dont le visage se couvre d’inquiétude. Elles ne sont pas fières… Ça leur apprendra à vouloir jouer. Merci, Erika ! — Alors, le jeu vous plaît-il ? Imaginez la belle histoire que vous allez pouvoir écrire… Elle ne croit pas si bien dire… C’est alors qu’un rire puissant – à vous crever les tympans – se fait entendre dans la pièce. Un rire qui vous glace le sang ! D’où sort-il ? De nulle part. Je jubile : « Qu’est-ce que c’est que ce truc-là ? Putain con, c’est Disneyland, ici ! C’est ça, la surprise d’Erika ? Trop fort : une attraction dans un donjon ! Oh con, ça sent l’adrénaline ; et peut-être un peu le cul si un coup de vent pouvait soulever les robes des filles, je te dis pas. Mamma mia, c’est trop fort, cette attraction ! » Surprises, les filles surprises se sont mises à gueuler comme des folles ; elles gesticulent dans tous les sens. Elles doivent se taper la trouille de leur vie ! Le rire reprend encore plus fort ; il vient des murs. — Ha-ha ! Ha-ha ! Ha-ha ! Ha-ha ! Ha-ha ! Le rire puissant se fait entendre encore et encore dans la pièce. Il est là, juste à côté de moi ; il me glace le sang. Un impressionnant courant d’air souffle avec une force telle que la moitié des torches s’éteignent et que la lourde porte claque dans un fracas assourdissant avec un grincement grave et strident à la fois. Les objets disposés sur les tables se mettent en ...
... mouvement, puis enfin le calme revient. Nous nous regardons, interrogateurs ; une certaine angoisse se lit sur nos visages : quelque chose d’anormal est en train de se passer. À une extrémité de la pièce, j’aperçois deux imposants fauteuils recouverts de velours rouge où des fleurs de lys couleur or sont brodées. Sur l’un, une silhouette luminescente apparaît. Le rire reprend, encore plus puissant. Une voix venue de nulle part se fait entendre : — Ha-ha ! Ha-ha ! Ha-ha ! Alors, bande de sales gueux, vous venez me défier dans mon château, moi, seigneur et duc d’Aquitaine ? Vous avez osé pénétrer en ces lieux… Qui vous y a autorisés ? Vous allez subir le même sort que moi ! Dans cette salle, j’ai été torturé jusqu’à la mort. Je vais me venger ! Je vais vous faire subir ce qu’ils m’ont fait : ça va être terrible ! Vous allez mourir ! Ha-ha ! Ha-ha ! Ha-ha ! C’est alors que des visages apparaissent dans des tableaux luminescents puis disparaissent, réapparaissent à nouveau, différents des précédents ; des visages de femmes, d’hommes plus ou moins jeunes, des visages d’enfants nous regardent fixement, les yeux brillants comme des étoiles puis se déforment, ondulent avant de disparaître. Je regarde partout ; l’animation est parfaite. Je suis sûr et certain que les filles vont se pisser dessus de trouille ; je regarde dans leur direction. Le vacillement de la flamme d’une torche encore allumée entre les deux croix éclaire leur visage, et vu leur tronche, je comprends qu’elles ne sont pas ...