1. Loches


    Datte: 19/12/2017, Catégories: Humour, Mature, Première fois

    J'invite tous ceux qui passeraient en ce beau coin d'Indre et Loired'aller visiter Loches ce fameux lieu. Les vestiges de la vieille villeen sont impressionnants. Pour le reste les gens et les paysages y sontagréables. Je lie ce nom aussi à un bon souvenir. Gabrielles’appelait-elle. Elle logeait avec son mari dans un refuge tenu par mesparents. Septembre venait à son terme. Nous avions trouvé curieux devoir débarqué ce couple en cette arrière saison. Eu égard aux largesdisponibilités on trouva bon de leur offrir à bon marché le quatrepièces du haut. Nous vîmes rapidement que le couple battait de l’aile.Les échos de leurs disputes nous parvenaient au travers des murs. Jetrouvais l'homme plus sympathique que la dame.Celle-ci avait un air d'autorité. Elle s'accoutrait à la façon d'unegarce. Toujours en bas et escarpins et ostensiblement fardée quoiqu'ilfit chaud parfois. Elle ne pouvait en présence d'un mâle s'empêcher defaire des minauderies et d'adresser des regards par en dessous. Ellevoulait manifestement plaire et séduire. Je ne saurais vous dire si elleétait jolie. Par contre sur la copie de son passeport était indiquée sescinquante ans au lieu que son compagnon en marquait dix de moins. Ilsétaient vraiment mal appareillés. Lui était d'autant timide et correctqu'elle était vulgaire et trop agressive. Elle le dominait. Elle letançait lorsqu'il s'adressait à une autre femme tandis qu'elle allumaitimpunément.Je venais qu'à quelques occasions voire mes parents. A chaque fois ...
    ... ellem'adressait sans vergogne un large sourire. Surtout lorsqu’elle étaitsans son mari. Elle ne se privait pas de m'inviter à partager son cafésur la terrasse. Elle étalait sur une petite table ses magazines et sonportable. Elle me fit part rapidement de son dépit que son mari eût éluce coin paumé loin de toute ambiance et loisirs. Si cela n'eût tenu qu'àelle, elle aurait préféré la côte d'azur. Il s'y étaient pris trop tard.Les locations restantes demeurant hors de prix. Bref elle s'ennuyait etse sentait piégée ici. Me fixant elle dit : "Y a pas beaucoup de fillesici . Tu dois t’emmerder mon pauvre". Je compris que ce devait êtretraduit pour elle par : il y a peu de mecs ici.Penaud j'avouais qu'à dix neuf ans j’avais bien une amie mais quecelle-ci était partie avec deux trois copines sur la Rochelle sans moi.La garce éclata de rire. "Tu te débrouilles comme un nigaud. Je convinsintérieurement qu'elle avait raison. Elle crut devoir se reprendre etaffecter la compassion. "N'ai crainte l'absence aiguise le désir. Vosretrouvailles n'en seront que plus belles."Cela devint comme un petit jeu. Elle voulait savoir si j'avais euquelques coups de fil ou des SMS de l'amie. Elle remontait davantage sajupe courte tandis qu'elle en parlait. Je lorgnais malgré moi lanaissance des bas où une belle peau laiteuse ruisselait. Je bandais.Elle le savait.Je savais un peu les heures où elle glandait seule sur la terrasse.Incidemment advenu à ces moments, elle s'en aperçut je crois avant moi.Elle ...
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