1. Loches


    Datte: 19/12/2017, Catégories: Humour, Mature, Première fois

    ... m'attirait telle un aimant. Un jour je décidais de ne venirrésistant à la tentation. Cependant l'attente fut insupportable. Je meprécipitais le lendemain. Elle marqua son mécontentement affectant unbonjour glacé puis un silence prononcé. Pour briser celui-ci j'hasardaisune question : "Vous avez visité Chinon ?" C'était bien mal venu carelle s'y était emmerdé. Elle me le fit savoir. Elle partit dans unediatribe contre les vieilles pierres et les syndicats d'initiative. Jeprotestais. Ceci pouvait avoir son charme. Méchamment elle rétorqua :"Tu t'étonnes que ta nana se défile !".Je fus tenté de lui balancer que son couple ne valait mieux. Nous étionspassés à un stade supérieur. Une saine colère d'emblée nous rapprochait.J'en voulais à ma copine. Il n'était que trop vrai qu'elle me prenait dehaut. Il était vraisemblable qu'elle flirtât là bas en mon absence.J'étais le parfait nigaud. Depuis mon dépucelage, je n'avais pas eu tantde filles. Cette femme à présent me rappelait d'une certaine façon quej'étais nigaud. J'eus pu lui répliquer tout autant qu'elle n'étaitqu'une garce, une vieille peau et qu'elle ne méritait pas son délicatcompagnon. Nous nous dévisageâmes un instant. Nous étions l'un l'autreirrités et malheureux pour de différentes raisons. Nous étions à la finde l'été. Nous ne savions comment sauver nos vacances.C'est à ce moment que son visage fermé irradia un large sourire venu onne sait d'où. En même temps elle écarta les cuisses devant moi àl'intérieur desquelles ...
    ... gisait une culotte couleur lilas toutetransparente. En effet j'entrevis au travers quelques poils du pubis.Son geste était ostensible et pour que je me régale des yeux. L'érectionsurvint. D'un coup d’œil avisé je sus qu'elle l'avait deviné. Son visageétait devenu entre temps sardonique. Tirant sur sa cigarette une boufféese perdit dans l'air. D'un ton de voix changé elle dit soudain rasséréné: "Il ne faut jamais désespérer. On peut toujours se refaire. Toi et moion peut ensemble s'amuser." Je rougis. Son propos était explicite. Jen'avais jamais jusqu'alors répondu aux avances d'une femme mûre.Cette nuit passa en boucle tant ses cuisses ouvertes que sa chatteaperçue. Cela valu du foutre sur le drap. J'eus du mal à affronter lelendemain son regard. Ma mère entre temps m'informa que le monsieurétait parti en coup de vent. Sa mère avait du être hospitaliséed'urgence. Madame n'ayant voulu le suivre s'ensuivit une dispute. Brefcette pécore était résolue à savourer les trois derniers jours d'autantque ceux-ci avaient été payés. Je sentis que ma mère n'eût pas vu d'unmauvais œil que la garce débarrassât le plancher. Dûment informé je vinsrejoindre la miss sur la terrasse. Elle fumait nerveusement sacigarette. Elle me confirma le tout. Elle avait obtenu de garder lavoiture ayant amené monsieur au TGV.Elle eût confirmation que j'aimais à conduire et m'élut à la fois commeguide et chauffeur. En effet elle escomptait bien qu'en ces troisderniers jours je pus la convertir à cette manie des ...