1. Loches


    Datte: 19/12/2017, Catégories: Humour, Mature, Première fois

    ... châteaux et desvieilles pierres. Elle renchérit que cela me ferait du bien et qu'ellecomptait bien me faire sortir de la tête ma petite amie si ingrate etdélurée. Je vis trop où elle voulait en venir. Cela en m'effrayait enmême temps que j'aspirais à me jeter pour une fois dans l'abîme de ladébauche. Jetant par dessus-tête mes derniers scrupules je voulaisaborder aux rivages du sexe. Par ailleurs je trouvais mal que ma mère ouautre me vit continuellement en conversation sur la terrasse. Il fallaitque nous allions nous cacher pour tous deux pécher.Il fut décidé d'aller sur Loches pour déjeuner et découvrir le site. Mamère ne vit que l'opportunité de se débarrasser de l'intrigante et neperçut pas le danger que je courrais. De toute façon je n'avais de cessede dire du mal de cette femme devant elle. Ainsi pus-je lui expliquerque je ferais volontiers le taxi pour cette femme afin qu'elle nesouffrit sa présence toute la journée. Mon conte fut cru. Je n'étais paspeu fier d'être devenu menteur et cynique à la fois. Je devinais que cen'était que le début de l'effet d'une corruption généralisée. Ce genrede femme vous rend fou. Nous partîmes rapidement d'autant qu'ellearborait cette fois une minijupe. Cela eût alerté ma mère. Deuxkilomètres plus loin nous échangeâmes des baisers et elle me branlât.Avant d'atteindre Loches en un petit chemin j'eus droit enfin à unesublime fellation, la première de ma vie qui fut de cette qualité. Ellem'invita à lui lécher ses tétons sur des seins ...
    ... qu'elle avait gros. Mamain s'enfouit dans une culotte plus transparente que jamais.J’exultais. J'en eus les larmes aux yeux. Tout cela me libérait d'unetrop grande tension et véritable frustration. Elle ne parut émue. Cettesalope mesurait tout ce que représentait pour moi de posséder enfin uneréelle femme. Il y avait tout à apprendre. Elle m'assura qu'avant la finde nos trois jours je serais un amant émérite. Elle en avait déniaisé deplus coriaces que moi. Nous parcourûmes main dans la main tout Loches enamoureux. Je n'avais cure qu'on me reconnut.Au retour en lisière d'un champ je la pris dans la voiture. Elle modéramon entrain et d'épouser son rythme. De savourer à mesure nos deuxplaisirs. Au bout d'une heure j'étais fou amoureux de cette sorcière.Plus aucune femme outre ma petite amie n'existait. J'échafaudais déjàdes romans avec elle. Elle me confirma qu'elle quitteraitvraisemblablement son mari. D'autres hommes la pressaient. La prochainefois elle ne s’embarrasserait pas d'un pareil minable. Je la voyaism'échapper. Je devins sur le coup jaloux. Elle en rit. Elle rappela quej'eus pu être son fils. J'étais malheureux. Elle me dédommagea decâlins. J'eus assez de peine à quitter ses bras. Le lendemain je fus auxaurores pour visiter Villandry et ses jardins.Nous baisâmes tant à l'aller qu'au retour. Châteaux et vielles pierresavaient perdu toute magie. Je n'avais de cesse de baiser cette femme.Tout à la force de l'âge je fis montre d'une endurance dont elle meloua. Rien à voir avec ...