1. Conte de Noël...


    Datte: 20/12/2017, Catégories: fh, rousseurs, inconnu, grossexe, volupté, revede, fgode, init,

    ... peut lui avoir fait un pareil cadeau. D’abord c’est un sourire, à l’évocation du ridicule de la scène et le sourire se transforme en rire plus franc, à l’évocation de la tête de la postière si elle avait imaginé son contenu du paquet qu’elle lui remettait. Enfin, un long rire de gorge, un de ces rires qui partent du fond du ventre, remonte le long de l’estomac et fait mal, tant il est libérateur. Puis le rire libérateur se transforme en fou rire, qui dure, se calme et repart de plus belle… Lydia a mal au ventre de rire, son corps est secoué de tressautements et elle doit s’allonger sur son lit, pour tenter de se calmer. Doucement, le fou rire qui venait de la saisir, en même temps qu’il a libéré son esprit des ses angoisses quotidiennes, a déclenché une longue vague de chaleur qui réchauffe son corps et la laisse dans un état de béatitude. Ainsi, apaisée et détendue, Lydia ferme les yeux et s’endort … Lydia marche sur une grande plage de sable gris, les cheveux flottant dans le vent, la morsure du soleil mordant sa peau dorée et nue, offerte au vent et aux légers embruns. Elle est bien. Elle est calme. Elle est seule. Un bruit sourd vient couvrir celui de la mer, il est cadencé, régulier. De derrière elle, surgit un cheval blanc, crinière au vent, mené par un homme, jeune, brun, bien balancé, couvert d’un chapeau de gardian mais nu. L’homme et le cheval l’ont doublé et au passage, le cavalier se penche et d’un simple geste de la main, la cueille la place naturellement en ...
    ... croupe et l’emporte. Elle sent la chaleur animale monter dans ses fesses et apprécie la douceur du pelage. Ses seins, libres, mais collés au dos nus et musclé du cavalier, dont elle sent la chaleur de la peau, sautent au rythme des pas du cheval et sous les impulsions, les pointes des mamelons durcissent et se hérissent. Sous ses fesses, son intimité au contact direct avec le dos de l’animal se soulève et s’écrase à chaque amble, déclenche en elle une sensation de plaisir humide. Ces bras enserrent la taille du cavalier et ses deux mains, plaqués sur un ventre dur et musclé, ont accroché un membre viril en parfaite érection. Déjà, le cheval ralentit pour s’arrêter devant une cabane, perdue au milieu des ajoncs, perchée sur un monticule de sable chaud. D’un côté la mer et la plage, vide d’âmes à l’infini, de l’autre des prairies, où paissent de lourds taureaux, imperturbables sous la chaleur d’un soleil cuisant. À l’invitation de deux mains fermes et calleuses, soutenant et amortissant sa haute descente de croupe, Lydia suit son cavalier inconnu dans l’ombre fraîche du cabanon. Dans la raie de lumière dessinée par la porte, le lit, aux draps blanc et frais, semble n’attendre que l’enlacement de leur deux corps. D’abord l’homme l’embrasse longuement et goulûment sur la bouche. Il lui mordille les lèvres, aspire sa langue, fouille sa bouche. Leurs dents s’entrechoquent. Les salives s’échangent. La douceur et la langueur du baiser qui dure, excite Lydia. Ses seins sont durs et ...
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