1. Conte de Noël...


    Datte: 20/12/2017, Catégories: fh, rousseurs, inconnu, grossexe, volupté, revede, fgode, init,

    ... lourds. Les pointes des tétons sont devenues sensibles. Très sensibles. Et l’homme, semble en déguster chaque parcelle, chaque tâche de rousseur, y déposant dessus un léger baiser, assortit d’un minuscule coup de langue. Arrivé vers les aréoles de ses seins, il remplace les coups de langue par de légers coups de dents. De tous petits mordillements qui avivent l’excitation de Lydia. Sous ces voluptueuses caresses et mordillements, elle se tord de plaisir, respire de plus en plus vite, ahane déjà. Elle porte ses doigts à la bouche pour ne pas crier et remue la tête de droite à gauche, faisant voler sur le drap ses longs cheveux roux et fins. L’homme a décidé de ne laisser inexploré aucune des parcelles de son corps. Aucune de ces très nombreuses tâches de rousseur. Patiemment, millimètre par millimètre, avec une patience d’ange, une passion dévorante, il embrasse et mordille chaque centimètre carré de sa peau du ventre, de ses flancs, de ses hanches, du début de ses cuisses, puis revient sur le ventre. Là, sous ses dents, sous sa langue, il se perd dans le léger buisson des poils roux du pubis, dans lequel les rayon de soleil cuivrent le couleurs et chauffe la peau de Lydia qui, sous la délicatesse des lèvres de son compagnon, ouvre largement les cuisses pour le laisser accéder à son intimité. Sans se presser, sans omettre le moindre recoin, la langue commence à fouiller la vulve ouverte, humide et chaude de Lydia. Sous le contact de la pointe de la langue, elle geint de ...
    ... plaisir et se tord pour inciter son amant à aller plus loin dans sa caresse buccale. L’homme se déplace et Lydia trouve au-dessus de sa bouche, le membre tendu. D’une main tendre, elle tente d’en faire le tour, tant la colonne de chair est large. Sous ses doigts, elle reconnaît les palpitations d’une chair vivante où le feu couve. Doucement, elle attire le sexe vers sa bouche, en hume les odeurs fortes, mélange de sueur, d’écume de cheval et d’iode marin. Par petits coups de langue sur le bout du prépuce, puis vers sa base, Lydia humidifie le membre pour assurer une meilleure lubrification et l’aspirer dans sa bouche, largement ouverte. Au contact de ses lèvres, le sexe durcit. Par un mouvement de sa tête, qu’elle décolle du matelas, elle absorbe le membre le plus loin qu’elle peut et l’excite avec sa langue qui tente d’en faire le tour. Sa propre intimité largement fouillée par l’homme qu’elle suce, Lydia ressent les premiers signes de sa jouissance, de son plaisir qui monte dans son ventre, dans ses reins et les laisse échapper sous forme de grands traits de cyprine. Dans sa bouche, le membre de plus en plus tendu, s’enfonce de plus en plus loin et sur sa langue elle sent les premières gouttes de spermes, annonciatrices de la proche jouissance. Jouissance qui survient presque immédiatement et qu’elle avale avec délice et bonheur au moment même où elle émet un long feulement de plaisir. Mais les corps, dans cette chaleur estival, ne semblent ni rassasiés ni fatigués. L’homme, ...
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