1. Conte de Noël...


    Datte: 20/12/2017, Catégories: fh, rousseurs, inconnu, grossexe, volupté, revede, fgode, init,

    ... recul sur le milieu du lit et attrape une couverture, s’en sert comme cache corps. L’homme, réveillé par le cri, ouvre les yeux et se redresse. — Bou ! Quelle bougillon t’es toi !— Qui … qui êtes … qui es-tu ?— Ben … je suis Gaspard !— Gaspard ?— Ben oui, Gaspard, le mec qui habite la chambre d’en face …— … Et t’es là … comment ?— La porte était ouverte, tu riais comme une folle … Tu avais un sacré godemiché dans les main et tu riais, mais tu riais, que ça faisait plaisir à voir et à entendre … Même que je me suis demandé ce qui t’arrivait, mais t’as pas pu me répondre tant que tu riais. Lydia, qui tient la couverture devant elle, et le godemiché de l’autre, tente vainement de cacher ce dernier, mais peine perdue. — Té ! C’est ça ce que tu tenais …— Mais … on a … Les mots ne viennent pas. — Vé, que oui ! Et plutôt trois fois qu’une ! T’es une bonne toi.— … Lydia, se sent monter le rouge aux joues. Et tandis que Gaspard se hisse sur le lit, elle s’assoit le plus loin possible du garçon. — Tu regrettes ?— Heu … non, répond-t-elle, dans un souffle tout en fixant le drap.— Parce que, moi, si j’avais su plus tôt, je t’aurais dragué plus tôt …— …— Voui, ça fait un moment que je te croise, mais toi, tu marche toujours les yeux baissés, alors, pour sûre, tu n’as pas pu me regarder.— Heu … désolé …— C’est pas grave. Note, que depuis que je t’ai vu, j’ai pris le béguin pour toi.— Mais la semaine dernière …— Ouais, je suis arrivé il y a seulement quatre jours …— …— Je viens conduire des ...
    ... bœufs pour les crèches de Noël de Paris, après demain, je rentre chez moi.— Et … c’est où … chez toi ?— Ben … ça ne s’entend pas ? Je viens de Camargue.— De Camargue ?— Voui, j’ai un cabanon, là-bas, sur une dune, près des champs et devant, la mer et une grande plage de sable blanc gris, du côté des Saintes Maries.— T’es … seul … là-bas ?— Ben … heu … seul avec mes bêtes et mon cheval … Lydia, enfin se décide à la regarder, calmement elle fait descendre la couverture, dénude sa poitrine encore alourdie de plaisir, secoue sa tête en faisant voleté ses longs cheveux roux dans l’air. — T’aurais pas … une petite place pour moi, dans ta cabane ?— Une petite place ? Gaspard fronce les sourcils, baisse un instant la tête, fait un instant de silence. Puis, redresse son visage, s’approche de Lydia, qui a un instinctif mouvement de recul bloqué par le mur, et en s’approchant de son visage lui murmure : — J’ai pas de petite place … mais si tu veux, seulement si tu veux, j’ai une grande place là. Et il s’empare doucement de la main de Lydia, la pose sur sa large poitrine, à l’endroit du cœur et continue en la regardant, dans le fond des yeux : — Pour la cabane, ça devrait aller. Lydia sourit. Puis, cherchant le godemiché, qui gît inutile sur le lit, elle s’en empare et le tend vers Gaspard. — Et ça, c’est toi ?— Heu, non, enfin, pas directement.— Explique.— Ben voilà, mon frangin, il est santonnier, alors je lui ai passé une commande spéciale, pour toi … pour ton Noël, des fois que j’ai ...
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