mamie et les blacks
Datte: 20/12/2017,
Catégories:
Mature,
Partouze / Groupe
Sexe Interracial,
... personne, j’eus quelques conversations sans grand intérêt, aucun homme avec qui je discutai ne me faisait de l’effet, ce n’était pas ce jour-là que j’allais connaitre le grand frisson. J’eus quelques compliments des rares convives que je connaissais, quand à mon apparence ; ma perte de poids ne leur avait pas échappé. Cela me fit plaisir et me rassura un peu. Je me dis que finalement je pouvais toujours plaire mais que ce soir je rentrerai seule…En quoi je me trompais lourdement.Après une heure j’estimai que j’avais rempli mon obligation de sociabilité vis-à-vis de mes hôtes et m’éclipsai discrètement, je dis à la mariée que j’étais fatiguée et je rejoignis ma voiture. Bien que j’aie essayé de ne pas abuser de l’alcool, j’avais bu quatre coupes de champagne, je sentais que je n’avais plus l’esprit très clair, pourvu que je ne tombe pas sur un contrôle de gendarmerie. J’avais un peu plus d’une demi-heure de trajet pour rentrer, je conduisais prudemment. En cours de route, un violent orage éclata, il tombait des trombes d’eau. Heureusement il y avait très peu de circulation. J’avais encore cinq minutes de route quand ma petite Opel se mit à tanguer, par chance je pus très vite me ranger à un endroit où le bas-côté était relativement large et me permettait de ne pas trop empiéter sur la chaussée. J’attendis quelques minutes que la pluie cesse avant de sortir de la voiture. Quand elle eut cessé, je sortis et constatai que j’avais crevé à l’arrière gauche, le pneu était ...
... totalement dégonflé. C’était gagné, je n’avais jamais changé une roue et bien sûr il n’y avait aucune circulation à ce moment-là, ce dont je m’étais réjouie quelques minutes auparavant. J’ouvris le coffre, enlevait le tapis de sol et récupérais la roue de secours ; il faudrait bien que je me débrouille toute seule.Comme je me penchais pour poser la roue de secours par terre j’entendis un crissement de pneus, une voiture que je n’avais pas entendue arriver freinait brutalement. Elle m’avait déjà dépassée de plusieurs dizaines de mètres et faisait marche arrière. Elle se gara devant ma voiture, deux jeunes hommes en descendirent, deux noirs, la trentaine, plutôt beaux garçons. Ils prirent rapidement les choses en main, sortirent le cric, soulevèrent la voiture et pendant que l’un d’eux démontait la roue crevée la pluie reprit, ce fut un nouveau déluge, ils me dirent de m’abriter dans la voiture pendant qu’ils terminaient. Je leur demandai de se mettre aussi à l’abri mais ils me dirent qu’ils allaient terminer, que ce ne serait pas long. Ce fut réglé en quelques minutes, la roue remplacée et l’ancienne mise dans mon coffre. Comme par hasard la pluie cessa comme ils terminaient, je sortis de la voiture et découvris qu’ils étaient trempés de la tête aux pieds et que leur pantalon était maculé de boue, les rares voitures qui étaient passées les avaient copieusement éclaboussés. Je me sentais gênée et sans réfléchir plus avant je leur dit que j’habitais tout près et leur proposai de venir se ...