mamie et les blacks
Datte: 20/12/2017,
Catégories:
Mature,
Partouze / Groupe
Sexe Interracial,
... sécher chez moi, ils se regardèrent puis acceptèrent. Je leur demandai de me suivre.Cinq minutes plus tard nous nous garions dans ma cour, je les fis entrer. Je leur proposai de laver leurs vêtements et de les mettre dans le sèche-linge, ils hésitèrent un peu puis acceptèrent. Je leur dis qu’ils pouvaient prendre une douche et leur donnai deux peignoirs, je leur montrai où était la salle de bain. Ils se douchèrent rapidement et revinrent me rejoindre au salon, ils ne semblaient pas très à l’aise dans leur peignoir, l’un rose l’autre blanc ; ils n’étaient pas vraiment à leur taille, vraiment trop petits, mais bon, pour une heure ou deux ça ferait l’affaire. Je pris leurs habits et les mis immédiatement dans le lave-linge et lançais un programme court. Je les rejoignis, je souriais, de voir ces deux grands gaillards noirs dans des peignoirs de femme m'amusait assez.Pour patienter je leur proposai du champagne que j’avais au frais. Je leur servis également des biscuits apéritifs, ils se détendirent peu à peu, moi également ; cette situation inattendue n’était pas pour me déplaire, j’étais là avec deux parfaits inconnus, jeunes, blacks et quasiment nus. Nous nous présentâmes, l’un s’appelait Moussa, l’autre Ousmane, ils étaient Sénégalais, et se rendaient à une fête champêtre dans le val de Villé à quelques kilomètres de chez moi. Je me présentais à mon tour, leur expliquant que j’étais veuve et que je m’ennuyais dans cette grande maison. De temps en temps je me levais pour ...
... jeter un coup d’œil au lave-linge ou à la cuisine. Il ne m’avait pas échappé que quand je revenais auprès d’eux ils ne me quittaient pas des yeux, ma robe qui remontait quand je m’asseyais en face d’eux avait l’air de les intéresser, je voyais qu’ils échangeaient un regard furtif avec un petit sourire ; tout cela était très discret, mais révélateur. Les premières fois que je m’asseyais je rajustais pudiquement ma robe, mais au bout d’un moment je ne le fis plus. Ça m’émoustillait, d’autant que nous avions vidé rapidement la bouteille de champagne, j’en cherchais une deuxième ; après tout je n’avais plus à prendre la route ce soir, donc je pouvais me lâcher un peu.L’atmosphère s’était progressivement détendue, nous parlions de tout et de rien, ils avaient un bon niveau intellectuel, de la conversation, c’était très agréable. J’avais envie que cela dure, je leur demandais s’ils étaient attendus dans le Val de Villé, dans le cas contraire je pouvais les garder à manger ; je leur devais bien ça, d’autant plus qu’ils avaient bu plusieurs coupes et qu’ils risquaient de tomber sur un contrôle d’alcoolémie. Ils acceptèrent sans trop se faire prier, personne ne les attendait là-bas.Quant à moi, je commençais à me demander ce qui m’attendait, je faisais tout pour les retenir, ils devaient se dire que j’avais forcément une idée derrière la tête. Ce qui n’était pas faux, je n’avais aucune envie de laisser partir ces deux beaux mâles sans en profiter. Je ne me reconnaissais plus, moi ...