1. Conquêtes et Victoire


    Datte: 20/12/2017, Catégories: fh, ff, jeunes, copains, école, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme jeu, attache, yeuxbandés, glaçon, mélo, portrait, amiamour,

    ... débattant : — Non Niels, non ! Pas de fourmis ! Pas d’araignées !— Doucement, ne t’inquiète pas, c’est adorable, tu verras…— De grâce, arrête, enlève-moi ça, je t’en supplie, Il vit ma terreur, comprit que le jeu me devenait cruel, et accepta aussitôt de ne pas faire durer l’épreuve. Il caressa ma tempe, et me dit de ne pas avoir peur, qu’il allait commencer par ôter mon bandeau. J’aperçus alors des dizaines de coccinelles se baladant sur mon corps. Il se les était procurées dans une jardinerie, où elles sont vendues à l’état de larves à élever pour lutter contre les pucerons. Je m’étais attendue au pire, mais la vue des bêtes à bon Dieu se promenant sur mon corps nu, pour être bizarre, était en fait assez charmante, et je finis par sourire. Niels me lança un regard attendri, détacha mes liens en me recommandant de rester immobile. Alors patiemment, il se mit à souffler sur mon corps pour faire s’envoler une à une les jolies petites bestioles rouges tachées de noir, et ce souffle lui-même était une caresse délicieuse. Il dut un peu insister du doigt pour celles qui s’étaient cachées dans le fin triangle de ma toison, et quand la dernière fut partie, il conclut par un baiser sur mon sexe, où sa langue s’insinua longuement. Il m’aida à me redresser, m’attira contre lui, et m’embrassa merveilleusement. J’avais une envie folle de le sentir en moi, sans cette fois procéder à de longs et tendres préliminaires, et je vis qu’il bandait furieusement. Je l’attirai vers le banc de ...
    ... bois, l’y assis, me posai moi-même sur ses cuisses, et lui soufflai sans le quitter du regard : — D’abord je veux ma punition. Je le vis à la fois excité et intimidé. — Rassure-toi, je ne vais pas te faire mal, c’est juste un jeu. Je lui fis mon sourire le plus coquin. — J’aime bien celui-là, il est délicieusement polisson. Ne sois pas trop doux non plus. Alors il guida mon corps pour le disposer sur ses genoux, les fesses tendues vers lui. Il les parcourut avec douceur, puis sa main s’abattit pour la première fois. À la sixième frappe, il comprit que son geste était trop retenu à mon goût, et ses claques se firent plus sévères, sans être violentes. Je me mis à émettre de petits cris de douleur à chaque impact, en en rajoutant un petit peu. Mais dès la dixième claque, mes cris se firent plus spontanés. À la vingtième et dernière, mon fessier irradiait déjà d’une chaleur intense, et scintillait de picotements. Sans attendre, il me souleva dans ses bras, me couvrit de baisers, me posa sur le sol, et fit choir en toute hâte le matelas depuis la table sur le carrelage bordant la piscine. Il me souleva et m’y déposa, et se mit à prendre possession de mon corps avec une fougue que je ne luis connaissais pas. Une de ses mains avait écarté mes cuisses avec autorité et me masturbait avec conviction. L’autre palpait mes seins, qu’il se mit bientôt à sucer avec voracité. Avant de les laisser glisser de sa bouche, il laissait ses dents traîner délicatement sur mes tétons. Tout mon corps se ...
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