Conquêtes et Victoire
Datte: 20/12/2017,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
copains,
école,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
jeu,
attache,
yeuxbandés,
glaçon,
mélo,
portrait,
amiamour,
... plus longue et violente forme d’orgasme collectif connue à ce jour. C’est elle que nous nous chargeâmes de célébrer au champagne. Six mois plus tard, c’est moi qui consolerais ma Lucie sur le même lit. Elle avait jeté son dévolu sur un garçon un peu farouche. « Un sentimental, dans ton genre. » Elle fut prise à son propre piège : il se révéla être un amant si tendre qu’elle en fut bouleversée. Elle tomba profondément amoureuse. Lucie voulait sans cesse le revoir, et chaque rencontre était pour elle un nouvel éblouissement. Elle avait perdu le goût du sexe à tout va, c’est exclusivement avec lui qu’elle voulait encore faire l’amour, comme si elle venait d’atteindre une nouvelle dimension, de découvrir un continent inconnu. Elle se culpabilisait de poursuivre au lit avec Léo des rapports qui n’étaient plus que comédie. L’idée de faire souffrir son compagnon en le quittant lui était insupportable, mais l’intensité de l’amour qu’elle éprouvait pour sa dernière conquête s’imposait avec une si brûlante évidence qu’elle s’y serait résolue, si seulement son amant de cœur l’avait voulu. Or, lui-même était écartelé : il lui vouait une tendre amitié amoureuse et était troublé par l’expérience, au cours de ses rencontres avec elle, d’une complicité sexuelle inédite. Il était conscient aussi que les sentiments de Lucie à son égard étaient exclusifs, bien qu’il sache parfaitement n’être que le dernier des nombreux trophées à son tableau de chasse, mais aussi le plus précieux. Cependant, ...
... tout son esprit était occupé au même moment jusqu’à l’obsession par ses amours contrariées avec une ravissante idiote dont il était éperdu. Il jugea plus honnête de cesser de voir Lucie. Elle pleura beaucoup. Comme toujours, Léo n’en sut jamais rien. ~~oOo~~ La fin de ma disette surgit de façon inattendue. L’école nous imposait régulièrement des travaux pratiques. J’avais été chargée de couvrir le reportage photo d’une soirée officielle à la Chambre de commerce. Il y avait foule : entrepreneurs du cru, investisseurs étrangers,businesswomans, hommes politiques, célébrités des médias… On m’avait précisé que, compte tenu du prestige de l’événement, il était souhaitable que je n’assure pas mon travail en jean et blouson, mais m’habille de façon à la fois sobre et élégante, et j’avais opté pour une jolie robe unie de la dernière collection d’Ingrid. J’avais fini de couvrir la conférence, le cocktail, les photos d’ambiance, et m’apprêtais à partir. J’avais reçu l’autorisation d’entreposer une partie de mon matériel en lieu sûr, dans un petit local donnant sur le couloir de la zone de bureaux, loin du tumulte. Je n’y avais pas encore saisi mon deuxième sac que la porte s’ouvrit. Je me retrouvai face à un bel homme soigné, dans la petite quarantaine, habillé d’un costume prince-de-Galles tombant parfaitement. Nous nous figeâmes, mutuellement surpris. Le silence se poursuivit au-delà de la normale, son regard était plongé dans le mien, comme fasciné, et ce n’était pas celui que je ne ...