Lazarius et l'antiquaire (7)
Datte: 21/12/2017,
Catégories:
Hétéro
Elle s’exécuta, se leva lourdement, me libérant du poids de son corps et de sa chaleur envahissante. Je lui administrai une grande claque sur la fesse pour la presser un peu. Elle cria. Mit ses mains sur la tête sans discuter en se hâtant et alla se placer comme je lui avais dit. La vue était plus que délectable : une belle femme aux formes généreuses et au volumineux cul rouge comme une tomate qu’elle offrait à ma contemplation, à genoux le dos tourné, les mains sur la tête (qui glissèrent peu à peu sur la nuque, ce qui était sans aucun doute dû à la fatigue et que je fis semblant de ne pas remarquer.) Les minutes qui suivirent parurent très longues. On entendait les mouches voler. Par moment, je me demandais si je n’exagérais pas un peu, si je ne poussais pas le bouchon un peu loin. Bien-sûr cette femme au physique plantureux était docile et avait un incontestable penchant pour la soumission, elle n’aurait pas pu le nier. Mais je me disais que cinq minutes c’était long, et qu’elle allait peut-être se lasser, et trouver la mise en scène un peu saumâtre. Aussi, au bout de deux longues minutes, je lui dis : " - C’est bon. Votre punition est terminée." Elle se releva lentement et vint vers moi. Je souriais. Elle me rendit timidement mon sourire, comprenant que le jeu avait pris fin. Elle se frotta les fesses : " - Vous ne m’avez pas loupée, hein ? — Vous la vouliez cette fessée. Osez dire le contraire. — Oui bien-sûr. Je l’ai voulue, j’y ai pensé pendant longtemps… j’en ai ...
... rêvé même. Mais ne vous n’y allez pas de main morte. — Désolé si j’y suis allé trop fort. Votre cul va vous cuire pendant quelques heures… — Oh ça n’est pas bien grave. Je ne suis plus une gamine, je m’en remettrai. — Vous avez aimé quand même ?" lui demandai-je doucement en lui prenant le menton. Elle était face à moi, toujours nue. "- Hum, ce que je préfère" répondit-elle avec un voix trouble, "c’est la honte… L’humiliation… d’obéir… de VOUS obéir, de recevoir vos ordres et d’obéir… à votre autorité. C’est… c’est troublant. — Excitant ? — Oui. — Mouillant ?" lui demandai-je en inclinant légèrement la tête avec un petit sourire coquin, tandis que je posais la main sur sa chatte renflée, et que mes doigts s’aventuraient timidement entre ses petites lèvres sexuelles. " - Jugez-en par vous-même" répondit-elle doucement, son visage tout près du mien. Je pris alors sa bouche, lentement, avec sensualité. Nos bouches s’ouvrirent, nos langues se mêlèrent, tandis que mes doigts glissaient d’arrière en avant dans sa fente toute humide. Je me mis à caresser avec insistance les muqueuses soyeuses de sa vulve. Elle passa ses bras autour de mon cou, ses mains se refermèrent sur mes épaules, me pressaient contre elle. Je décollai un instant ma bouche de la sienne, lui murmurai : " - J’ai envie de votre belle chatte. J’ai envie de vous donner du plaisir." Ses yeux tout près des miens étaient tout brillants, elle soupira : " - Elle est toute à vous. Je vous en prie. Faites tout ce que voulez. — ...