1. Lazarius et l'antiquaire (7)


    Datte: 21/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... maintenant ses cuisses à la verticale bien plaquées contre moi, et mes va-et-vient à l’amplitude maximale firent sortir de sa gorge de nouvelles vocalises. Elle n’arrêtait pas de jouir, tout son corps secoué de tremblements et de spasmes, et ce spectacle ajouté à son chant d’amour et la sensation exquise de sa belle chatte eut raison de moi : je jouis en rugissant comme un dément, lui envoyant des puissants jets de foutre tout au fond de son délicieux conduit ! Je m’écroulai sur elle d’épuisement, et je restai ainsi, dans ses bras, de longues minutes, tandis que nous reprenions nos souffles. Après une bonne douche, nous prîmes un autre café. Coquine, elle me lança : " - Alors, pas trop déçu d’avoir fait tant de kilomètres et de n’avoir trouvé aucune antiquité intéressante ? — Et vous, pas trop déçue de ne m’avoir rien vendu ?" Nous éclatâmes d’un rire commun. " - Tu as remarqué que je n’ai pas fait le déplacement pour rien…?" lui dis-je d’un air complice et en prenant sa main. " - Ah oui, je l’ai remarqué. Et mes fesses l’ont senti aussi ! — Avoue que tu l’as bien cherché. Et que c’est même ce que tu voulais. Je te soupçonne même que tu as fait exprès de me faire venir alors que tu savais que tu n’avais rien qui me plairait pour me mettre en colère et me donner une vraie et bonne raison de te fesser… — Et il me semble que ça a marché. Et même au-delà de mes espérances… j’ai même cru que tu étais réellement fâché. — Bon, j’avoue que tu m’aurais déniché une pièce qui m’aurait ...
    ... plu, ça aurait été un plus pour moi… Mais ton fessier était une motivation beaucoup plus stimulante et qui valait largement le déplacement. Pour tout dire, pour un aussi beau cul, je suis prêt à faire cinq-cents kilomètres s’il le faut. Alors, je t’avoue que j’ai joué le mec fâché… Fallait bien une mise en scène. — J’aurais pu te faire venir à Paris, je sais… — Oui mais il fallait bien un prétexte pour me faire venir. Je ne t’imaginais pas m’appeler et me dire : « Bonjour Monsieur. Est-ce que vous voulez bien venir me fesser chez moi…?» Les femmes et leur retenue…" Elle baissa les yeux : wsqwrrop " - Oui, tu as tout compris… — Mais tu as eu raison, c’était très bien comme ça. Et puis ça a été très agréable cette journée à la campagne avec toi, cet excellent déjeuner… — Merci. — Bon, mais je ne vais pas tarder à rentrer sur Paris. — Tu ne veux pas rester dormir avec moi, il est déjà presque dix-sept heures. …et puis il y a longtemps que je n’ai pas dormi avec un homme dans mon lit — C’est que je dois rentrer, j’ai à faire…" Elle insista. J’avoue que j’étais un peu fatigué et je n’avais pas trop envie de me retaper cette route maintenant. Je finis par céder. " - Mais à une condition. — Laquelle ? — D’abord, que lorsque tu auras envie d’être fessée la prochaine fois, tu m’appelleras et me vouvoieras : je comprendrai. — OK" répondit-elle en riant. " - Et puis une autre. — Laquelle ? — Allons nous promener dans la campagne, pendant qu’il fait encore clair. Il fait si beau. Et puis ...