Lazarius et l'antiquaire (7)
Datte: 21/12/2017,
Catégories:
Hétéro
... Et si nous allions sur un lit…? — Venez" me dit-elle en me poussant sans desserrer son étreinte, et elle reprit ma bouche. A reculons je me laissai guider et elle conduisit ainsi jusqu’à sa chambre. J’avais lâché sa chatte et mes mains la caressaient, étaient partis à la découverte de son corps, exploraient ses belles formes et sa peau douce, descendant des épaules jusqu’aux flancs moelleux, caressèrent les hanches larges et pleines. Nous étions arrivés devant son lit. Je la basculai doucement. Elle gémit un peu quand ses fesses en feu rencontrèrent le couvre-lit. Pour lui épargner ce contact encore difficile sur son séant à vif, je lui fis mettre le bassin au bord de la couche, et relevai les cuisses, lui demandant de me les ouvrir. Elle ne se fit pas prier et m’exposa sans pudeur sa belle chatte épilée, l’offrant à ma bouche assoiffée. Mes mains s’emparèrent de ses cuisses pleines, de chaque côté de ma tête, et tout en les caressant voluptueusement, ma bouche ouverte commença à se livrer à un ballet diabolique sur ses muqueuses vulvaires, toutes gonflées et luisantes de désir. Le vampire que j’étais aspirait ses sécrétions, se délectait de sa cyprine qui commençait à couler en abondance, s’en abreuvait comme un pèlerin à genoux après une traversée du désert. Elle commençait à devenir folle, criait son plaisir qui montait très vite, et tandis que je léchais et suçotais ses doux pétales, que je tétais son petit bourgeon durci, je sentis exploser ses orgasmes. Tout son corps ...
... était secoué de tremblements, elle mordait son poing, sa tête roulait à droite et à gauche, et moi je m’abreuvais à la source de sa jouissance. Finalement je me relevai, lui relevai ses jambes et, gagné par l’excitation, je lui annonçai d’une voix rauque : " - Madame, je vais vous prendre ! Vous n’y voyez pas d’inconvénient ?" ajoutai-je avec humour et sur un ton badin. — Prends-moi ! Baise-moi ! J’ai envie !" Je me libérai en un éclair de tout ce qui revêtait mon membre viril qui était, depuis de longues minutes, dans les dispositions propices à sabrer cette belle blonde en chaleur, et sans autre forme de procès, je l’introduisis dans le fourreau qui m’attendait avec impatience. " - Hum" dis-je à la femme, "votre belle chatte est brûlante comme l’enfer." Je m’y enfonçai jusqu’à la garde avec délectation ce qui fut accueilli par ma blonde avec des cris de joie sauvage et d’encouragement à la pilonner : " - Baise-moi ! Défonce-moi ! Prends-moi à grands coups de reins ! — Mais vos désirs sont des ordres, Madame. Vous savez que vous avez une belle chatte, et qui est en plus bien accueillante…?" Je refermai mes mains sur ses seins plantureux, les malaxant comme un malade tandis qu’à grands coups de bélier je me mis à ébranler son corps replet et animal. Ma bouche fit taire un instant ses cris d’hystérique, tandis que je pilonnais à grands coups de pine son utérus et ses ovaires, recueillant des cris étouffés par ma langue qui la bâillonnais. Je continuai cette cavalcade debout en ...