1. Candaulisme : un, deux, trois et demi


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, ff, hh, fhh, cocus, hotel, Transexuels Oral pénétratio, fsodo, hsodo, confession,

    ... tendre ma main vers la verge endormie, pour l’instant masse informe de chair. Délicatement je soulève le sexe plissé pour découvrir les deux bourses ensommeillées. La tige, doucement posée sur le pubis, n’est pas si petite. Le gland est totalement caché par sa protection de peau qui se termine par une sorte d’excroissance avec un orifice, tel la cheminée d’un volcan. Si je suis surpris de découvrir ce sexe, c’est uniquement parce qu’il est totalement au repos. Peut-être que, de « l’homme », il ne reste que son attribut ! La preuve est, que ce que nous venons de faire avant, ne semble pas l’avoir excité. Pourtant j’ai entendu de mes propres oreilles Alexis féliciter ma femme pour sa fellation et le copain de Jean affirmer la réalité de la queue. Les bourses aussi respirent, se détachant de la peau des cuisses. L’enveloppe paraît délicate, humide de transpiration, d’un rose enfantin. Je ne peux me retenir de glisser ma main dessous pour leur servir de réceptacle. — Mon Chéri. Toi aussi tu les trouves belles ! C’est Anne qui me susurre à l’oreille, totalement rassurée. Je ne réponds pas. J’assiste à la magie, pourtant si commune, d’une verge qui frémit. Précautionneusement, maintenant ma main malaxe le paquet de chair, où je découvre les deux noyaux bien séparés. Mon doigt flatte une couille, puis l’autre, s’aventurant parfois à la base pour y découvrir le petit trou. Mais ce n’est qu’une exploration rapide et je remonte. Maintenant je vois nettement la verge ramper sur le ...
    ... pubis, pour monter à l’assaut du nombril. Que c’est beau un sexe d’homme qui se déploie. Bien sûr, je connais le mien et même d’autres en vidéo. Mais ici tout paraît différent. Ma position bien sûr, adorateur à genoux, le visage qui regarde de bas en haut, vision totalement inversée de l’habitude. Elle continue de ramper. L’arbre grossit aussi. Maintenant la peau est tendue et le gland apparaît, comme un bourgeon qui s’extirpe de sa gangue de feuilles. Mais aussi cette impression de force, de vie palpitante qui fait que la queue frémit. Une main vient la saisir à pleine hampe. Une main manucurée, les ongles vernis qui tranchent de leur bleu brillant sur la peau rose. La queue est maintenant relevée et la main sert de calibre. Les doigts en font difficilement le tour et il en faudrait deux pour recouvrir de la base au gland. Jean avait raison, c’est un morceau. Un morceau que j’aurais bien aimé avoir entre les cuisses, même si je n’ai pas à rougir du mien. Comment un homme si bien pourvu a-t-il éprouvé le besoin, manifestement irrépressible, de choisir un autre genre ? Par contre je comprends maintenant « l’engouement » de ma femme pour Alexis. Délicatesse et puissance, tout un programme. La bouche qui s’avance vers la tige redressée, a souvent sucé la mienne. Mais là encore tout est différent, amplifié, exacerbé. Les lèvres prennent possessions du bout rose. Lèvres brillantes, rouge carmin, humides, lames de chair impudiques qui avancent et que rien n’arrête. Et ce regard ! Dieu ...
«12...111213...18»