Candaulisme : un, deux, trois et demi
Datte: 04/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
fhh,
cocus,
hotel,
Transexuels
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
... quelle perversion, si douce, si bonne ! Oui, le regard d’Anne qui croise le mien, telle une prêtresse de l’amour. Et toujours cette lueur lubrique alors qu’elle glisse et avance ! Les lèvres qui s’écartent, les joues qui enflent et le bout de langue qui sert d’explorateur. Je comprends le« Anne tu suces comme une déesse » de l’autre soir. Bien sûr, ma queue a déjà été engloutie dans cette gorge, mais je ne pensais pas qu’elle puisse en accueillir aussi long. Je crois que ma verge a retrouvé de la vigueur au moment où Anne a englouti tout le mandrin, du gland aux couilles, et qu’elle me regarde avec ce regard de « salope ». Oui, de salope, mais dans le bon sens du terme. Salope qui sait se donner à fond pour l’autre. Salope qui dépasse les limites classiques de la femme mariée uniquement pour le plaisir de l’autre. Alexis, l’homme, ne peut que gémir de nos caresses. Nos caresses, car moi aussi, sans réfléchir je lui masse les couilles. Juste retour des choses. Un homme et une femme se rejoignent pour apporter du plaisir à un, à une, à une« Shemale ». Anne se charge de pomper le nœud avec allégresse. La coquine ! Je crois que je ne la connais pas. Ma femme ? Insatisfaite ? Envie de plus ? On verra plus tard. Pour l’instant la bougresse abandonne la bite, luisante et dilatée, pour se coucher sur le lit et attirer l’homme vers elle. Alexis ne se fait pas prier. Elle, Il, s’installe entre les cuisses ouvertes, encore brillantes des coulures des jouissances buccales. Anne pose les ...
... jambes sur les épaules de… Je ne sais comment dire ! Alexis ? L’homme ? La femme ? En tout cas, moi aussi je me déplace. Je ne raterais pour rien au monde ce que j’imagine et fantasme depuis des lustres. Comme dans un film au ralenti, les amants se placent. La bite pointe, horizontale, uniquement dirigée par son propre poids. Je suis la caméra du réalisateur d’un film X. Mes yeux zooment vers la chatte, fente bordée par deux montagnes rouges qui ne servent qu’à guider le gland et servir d’entonnoir au pieu qui n’a plus qu’à suivre la pente naturelle. Aucun obstacle ne se met en travers du chemin, les chairs s’ouvrent et s’adaptent au mandrin. L’homme n’entre pas en une seule fois. Il entre un peu puis ressort. Le spectacle est magnifique. La queue est un piston que la chatte cherche à serrer de toutes ses forces. C’est comme si des muscles étreignaient la bête pour l’empêcher de repartir. À chaque recul, ma femme avance son bassin, effrayée sûrement de perdre ce qui ne fait que lui promettre le meilleur. Une fois, deux fois, dix fois, le pieu recule pour avancer encore un peu plus. Chaque millimètre est une promesse accompagnée par un « oui » de ma femme. Enfin il s’immobilise. L’engin est tout entier dans la grotte. Les couilles se frottent aux fesses. Anne sourit, les yeux clos. Maintenant qu’Alexis est tout contre ma femme, le spectacle est surprenant. Deux poitrines se font face, Alexis s’étant maintenant penchée en avant, uniquement retenue par ses bras. Ma femme a ses ...