La consécration
Datte: 22/12/2017,
Catégories:
fh,
couplus,
extracon,
cocus,
amour,
hsoumis,
fdomine,
Oral
pénétratio,
attache,
baillon,
yeuxbandés,
init,
confession,
cocucont,
... l’enfourne avec difficulté dans sa bouche. Le spectacle est fabuleux, jouissif ! Après de longs préliminaires, Jérôme décide qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Il allonge doucement Audrey sur le canapé, pointe son gland devant l’entrée accueillante de sa vulve. Je m’attendais à le voir y pénétrer sèchement et à la pendre virilement, sans ménagement… Je m’attendais à assister à une baise furieuse et bestiale, mais quelle surprise, c’est tout l’inverse qui se produit… En douceur et progressivement, tendrement tout en lui caressant doucement la nuque, il finit par la posséder sensuellement. Il l’embrasse doucement, la caresse délicatement, parcourt son corps du bout des doigts, son corps superbe, son corps qu’il me semble voir frissonner de plaisir. Leurs ébats sont bien plus sensuels et passionnés que bestiaux. Une estime, un respect et surtout un grand désir réciproque se dégage de leur union. C’est beau et terriblement excitant, je deviens alors le plus heureux des cocus. Leur union est si respectueuse, le romantisme et la sensualité qui s’en dégagent sont si forts qu’une sensation de plénitude, de bonheur me submerge. Je suis juste heureux, heureux de voir ma femme ainsi épanouie et prendre un tel plaisir. Je me sens alors presque de trop, tel un intrus qui volerait un moment d’intimité et de complicité dans lequel je ne suis pas convié, mais ma présence ne semble pas les déranger pour autant. Au contraire, ils semblent tous deux m’avoir totalement oublié. Dans ...
... un râle sourd et profond, Djé finit par jouir au plus profond de mon ange, de mon trésor, de ma femme. Il s’allongea tout contre elle et ils restèrent ainsi un petit moment, inertes, collés l’un à l’autre, se caressant doucement, partageant un moment de tendresse et de complicité quand enfin ma présence sembla leur revenir à l’esprit. C’est Audrey, la première qui m’interpella : — Ça va, mon chéri ? Et Djé rajouta : — Il a l’air comme groggy. J’espère que c’en était pas trop pour lui ? Voilà qu’ils s’inquiètent pour moi, alors qu’ils ne m’ont pas épargné jusqu’ici. Audrey se lève doucement et se rapproche de moi timidement, l’air inquiète en me disant : — Tu es tout mou, mon cœur, tu es contrarié ? Elle commence par me retirer mon bâillon, mais je reste silencieux. Elle rajoute alors en me libérant les mains : — S’il te plaît, dis-moi quelque chose mon cœur ? Je t’aime ! Je l’attire alors vers moi et la prends dans mes bras. D’une voix emprunte d’amour et de tendresse, je lui réponds : — Tout va bien, ma puce, je suis le plus heureux des hommes. Tu es si belle, vous êtes si beaux, c’était si beau ! Je t’aime à la folie ! Conclusion C’est ce soir-là que j’ai réellement découvert « mon candaulisme ». Il ne s’agit pas d’un fantasme ni d’une pratique, rien de si technique… il s’agit juste d’être aimé par une personne libre et épanouie. Quoi de plus satisfaisant que d’avoir auprès de soi l’être le plus cher à votre existence et que ce dernier soit libre de vivre sans contrainte, ...