1. Panpan cucul (1)


    Datte: 24/12/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... volontairement à bout et je viens de le comprendre. Elle ne bouge plus, elle reste vautrée sur le plateau, le dos courbé, la croupe bien relevée, comme si elle me la présentait. Je ne bouge toujours pas, alors elle tortille son popotin sous mes yeux, elle me provoque. Je n’ai pas réfléchi, puisque c’est cela qu’elle veut je vais le lui donner. Je lui ai envoyé quelques belles taloches sur les fesses et les claquements secs ont résonné dans la salle. Je viens de foutre une fessée à ma mère, les coups sont tombés sur sa croupe sans que je puisse les arrêter. Elle s’est pris une bonne déculottée, je ne suis plus moi même, je suis malheureux, je viens de lever la main sur elle... Je ne sais pas quoi faire, les claques ont été sèche, ma main me fait souffrir, elle est bien rouge, mais son cul doit être dans un état pitoyable. J’espère tout penaud que sa jupe a amorti les baignes. Elle me fixe sans pudeur, elle passe et repasse sa main sur son derrière, puis par provocation elle tapote dessus pour réclamer un supplément. Elle n’arrête pas de m’attiser, elle en veut davantage et elle me le fait savoir sans la moindre décence. Elle minaude, elle se trémousse, elle joue les dévergondées, je la sens impatiente que je recommence. Elle fait tout ce qu’elle peut pour m’exciter, elle tend son popotin en offrande et je ne l’ai jamais vu comme cela. J’ai filé sans demander mon reste, j’ai déguerpi fissa et je suis allé chez Béatrice, une copine. Béa c’est un coup facile, une des filles que ...
    ... je baise en fonction de mon emploi du temps. Tout comme moi elle aime l’amour vache, elle est un peu soumise, masochiste aussi et j’aime bien cela. Nos retrouvailles commencent mal, je ne décolère pas et pourtant à ma rage s’ajoute certes un sentiment de honte, mais le plus étrange c’est que je ne peux m’empêcher de me dire que Maman l’avait amplement mérité. J’ai osé lever la main sur ma mère, je suis un fils indigne, mais plus j’y pense et plus je me dis que j’ai eu raison de sévir. Elle y regardera à deux fois avant de se mêler de choses qui ne la regardent pas. La Miss ne dit rien, elle me sert un autre apéro, elle me voit bouillonner sur place et elle attend patiemment que j’en parle. Je ne me calme toujours pas, j’ai encore pas mal d’agressivité en moi et je n’arrive pas à l’évacuer. Je lui explique, les mots ont de la peine à sortir, mais peu à peu je lui raconte ce qui s’est passé. Ses incursions dans mon quotidien le plus secret, ce jugement moral qu’elle m’a envoyé à la figure, ma furie, mon indignité et surtout ce mon trouble qui ne me quitte plus... « - J’aurai dû la punir davantage... ». Je balbuties quelques excuses, je ne suis pas dans un bon état d’esprit, je m’en rends compte et c’est elle qui en fait les frais. Tout s’emmêle dans ma tête, ma violence, mon déshonneur et ce plaisir pervers que j’ai eu à la corriger. J’essaye de mettre des paroles sur mon malaise et ce n’est pas chose aisée. Béatrice s’est levé, je la vois baisser sa culotte puis elle s’appuie ...