1. Panpan cucul (1)


    Datte: 24/12/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... excuses mais son index sur mes lèvres me forcent à garder le silence. Elle me regarde les yeux plein d’amour et alors que je restais tétanisé et franchement con, je l’entends prononcer ses paroles... « - Pardonnes moi mon cœur, j’ai été trop loin... » « - Moi aussi... », ai je bredouillé « - Je l’ai mérité... Je vais essayer de faire plus attention... ». Elle m’embrasse et s’en va se coucher, en passant devant moi je l’ai vu tripoter son arrière-train, comme si elle souffrait encore. J’ai suivi le mouvement de sa menotte qui cajolait subrepticement son fessier, je suis à deux doigts de lui proposer un peu de baume pour atténuer ses contusions, mais je n’ose pas. J’ai peur qu’elle le fasse devant moi, ou pire encore qu’elle me demande de l’étaler. Elle stoppe une seconde pour attraper un tube de pommade, elle ne lance un regard canaille... « - Ne t’inquiètes pas, dorénavant je vais être plus sage, sinon... ». dmbdhhal Je tourne et je vire dans mon lit, une pensée m’obsède, je pense au cul de maman, dès que je ferme les yeux j’imagine les rougeurs, les marques, les bleus qui apparaissent peu à peu dessus. J’ai tapé fort je le sais, je n’ai pas retenu mon bras. Elle doit serrer les dents, elle doit déguster, sûrement ne peut elle même pas se mettre sur le dos. Je repense sans cesse à la crème apaisante qu’elle a amené avec elle, elle doit être en train d’en verser une grosse noisette dans sa paume et elle doit maintenant l’appliquer pour calmer l’inflammation. Je peux voir sa ...
    ... main grasse aller et venir sur ses tuméfactions, elle va calmer ses brûlures, du moins essayer. J’aimerai bien l’étaler moi même, faire preuve de gentillesse de douceur après tant de sauvagerie. Je voudrais qu’après cette tempête furieuse qu’elle se sente aimée, choyée, pardonnée aussi et moi je pourrais enfin expier. Je l’ai fait sur le cul de Béa juste après mes sévices et j’ai adoré. Je venais de la sodomiser avec puissance, ma queue avait défoncé son colon, j’avais retroussé ses muqueuses, dilaté son fion sans vergogne, tapé jusqu’au fond de son conduit et emporté par l’excitation, j’avais joui bien vite, l’encrassant jusqu’au fond de ses entrailles. Béatrice s’était éclipsée une minute et à son retour elle m’avait ensuite donné un gel apaisant, elle avait compris que j’en mourais d’envie. Ma pogne couvrait ses meurtrissures d’une couche épaisse, je la faisais bien pénétrer et je ne pensais plus comme je le devais. C’était le derrière de Maman que je choyais, c’était bel et bien le sien que je maternais pas celui de ma belle. Je n’arrivais pas à m’enlever cette idée de la tête, c’était plus fort que moi. Je bande en me remémorant cet instant, je vais rester dur et tendu. Je n’ose pas me branler, je n’ai pas envie d’atteindre l’orgasme avec à l’esprit l’image de ma mère et pourtant, je sais que si je le faisais mon orgasme va être effroyable. Au matin Maman a préparé le petit déjeuner, on ne parle pas de ce qui s’est passé hier. Elle me beurre mes toasts, me sert un café ...