1. Panpan cucul (1)


    Datte: 24/12/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... contre le buffet et relève sa robe. Elle reste immobile, la lune à l’air, elle se tourne vers moi et me fixe avec ce regard étrange et espiègle. « - Maman a été méchante ! », me dit-elle en se tapotant la fesse. Je n’hésite pas, Béatrice veut être punie et de la plus tordue des manières. Je pose ma paluche sur son derrière, doucement je le caresse, je l’amadoue lentement jusqu’à ce qu’elle baisse sa garde. Ma main glisse sur sa peau et elle se laisse griser, je continue mes effleurements, je suis tout léger, espiègle aussi, j’attends qu’elle réagisse et cela ne tarde pas. Elle couine de plus en plus, mes frôlements la régale, elle frissonne sous mes doigts, alors je lui envoi une première frappe, bien sèche. Elle serre les dents, mais je sais qu’elle se délecte. Je frappe de nouveau avec plus de rudesse, je vais la faire gueuler. Je cogne, je fustige sa croupe, l’empreinte de ma pogne marque son fion. Il rougit de plus en plus, les traces de mes doigts laissent leurs marques profondes sur son cuir écarlate. Je ne quitte pas des yeux sont popotin, Maman et elle ont quasiment le même, sauf que celui ci est moins large, moins gros aussi. La maternelle a le séant beaucoup plus généreux, mais bizarrement l’illusion est bien là. Ce n’est plus vraiment Béa que je fesse, plus je la frappe et plus c’est ma mère que je châtie. C’est exaltant et pervers, comme si je voulais aller jusqu’au bout de ce que j’avais fais. J’y vais avec force et violence, Béatrice me motive, elle se prend ...
    ... au jeu et joue à la perfection la vilaine mère qui doit être sanctionnée. Elle s’emballe, elle répète sans fin cette phrase qui m’enflamme... « - Punie Maman ! ». Je ne retiens plus mon bras, je vais lui incendier sa lune et elle va crier sa souffrance. Elle vient de beugler, Béatrice a joui. Je cesse immédiatement la déculottée, je suis paumé, je viens de foutre une rouste à ma mère par procuration et j’ai adoré. Je veux prolonger cet instant, maintenant que je suis calmé je ne suis plus que douceur, légèreté sur ce postérieur que je viens de malmener comme le plus abject des fils. Je pose le plat de mes deux mains sur son fessier, elles tournent, virevoltent. Je ferme les yeux, j’ai encore envie de croire que c’est ma mère qui est là, que je malaxe son cul, que je le pétrie, puis que je m’enfonce dans sa raie. Béatrice a tout deviner de mon trouble, elle se colle à moi, redresse sa tête et la cale dans le creux de mon épaule et dans un souffle je l’entends me murmurer... « - Viens mon tout beau, viens baiser Maman... », alors je l’ai enculé... Je suis rentré, je ne suis pas fier de moi, j’ai eu une attitude affligeante envers Maman. Il est deux heures du matin et j’espère que ma mère est au lit et qu’elle dort. J’ouvre la porte, il y a de la lumière dans le salon, je vais voir d’un pas timide. Elle est là, en robe de chambre, assise sur le canapé, l’air penaud et moi je n’en mène pas large non plus. Elle se lève dès que j’entre, moi tout de suite je veux lui présenter mes ...