1. Claire et nous (1)


    Datte: 26/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... nous montrera ce soir quelques-uns des produits que sa firme propose. Nous nous sommes installées sur la balancelle, sous le gros chêne et nos mouvements nous entraînent vers des rêves un peu langoureux. Je suis heureuse qu’elle soit là et comme tu n’arrives pas, elle me demande si elle peut se rafraîchir. Alors, je la conduis dans la maison et plus exactement dans la salle de bains. J’ouvre le placard, lui sort une immense serviette parfumée à la lavande, je la laisse pour qu’elle puisse prendre une douche. Je me retire doucement en tirant la porte derrière moi, mais sans m’en rendre compte celle-ci ne se referme pas totalement. Le bruit de l’eau qui coule, étant plus fort que la normale, je reviens vers cette porte et là devant moi, par l’entrebâillement, j’ai une vue splendide sur Claire qui n’a pas, elle non plus, tiré le rideau de la douche. Elle se savonne vigoureusement une poitrine affriolante et je ne sais pour quelle obscure raison, je suis tétanisée par cette scène sublime. Ses mains frictionnent les deux globes desquels je n’arrive pas à détacher mon regard. Michel l’a trouvé belle, elle me semble plus que cela encore. Une statue grecque, une odalisque sortie tout droit d’un conte de fées. Elle se frotte partout et je vois sa peau remplie d’une mousse abondante, et ses mains qui courent sur son ventre, franchissent la limite du nombril et viennent doucement laver le pubis. Celui-ci est couvert de poils blonds qui mouillés ressortent étrangement sur sa peau mate. ...
    ... Ses doigts s’attardent dans la fourche de ses cuisses, là où passe le sillon doux de son sexe que je devine plus que je ne le vois. Elle ploie quelques instants ses jolies jambes et les lèvres s’ouvrent toutes seules. Le bain moussant ensuite m’interdit de voir quoi que ce soit et je me dis que je suis une gourde d’ainsi jouer à la voyeuse. Je tire la porte sans bruit, et m’éloigne, rouge de honte, mais trempée d’avoir aperçu cette scène hautement érotique. Michel ! Tu as un excellent goût, surtout en matière de femme ! Michel Sur le bar, j’ai déposé l’argent du café et ma tasse vide, je prends le chemin de la sortie. La rue est déjà moins animée et je remonte à pied le long du quai des bons enfants, je flâne un peu. Je retrouve ma voiture sur le parking fermé où je l’ai laissé. Je prends la route, direction Gérardmer. Au premier feu rouge, je songe que je dois appeler Claude, juste pour lui dire que, dans trente-cinq à quarante minutes, je serai à la maison. J’aurais bien envie de sortir ce soir, mais je connais ma petite femme, elle a sans aucun doute préparé un petit repas pour nous deux. Et puis une soirée câline, calme, juste elle et moi, ce n’est pas pour me déplaire. Je m’arrête sur le parking du « Malgré-Moi » quelques centaines de mètres plus loin que la déchetterie d’Épinal et je préviens Claude. Bien sûr qu’elle n’aurait rien dit si je ne l’avais pas fait, mais nous avons pris au fil des années des habitudes. Celle-ci n’est pas mauvaise et je la garde. La première ...
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