1. SOUMIS (1)


    Datte: 26/12/2017, Catégories: Trash,

    J’étais passé un peu par hasard dans ce petit village typique sans me poser la question de ce que je venais y faire . Ce n’est que devant la maison que je me suis rappelé y avoir connu des instants heureux plus de trente ans auparavant. Qu’était donc devenue la propriétaire de l’édifice que j’avais perdue de vue il y a bien des années ? Sans doute avait-elle déménagé. J’allais marcher un peu vers le centre bourg pour m’y rafraîchir lorsque la porte s’est brusquement ouverte sur une grande femme brune aux petits yeux noisette. Je l’ai immédiatement reconnue. Elle a un peu épaissi, mais peu changé. Sa démarche est toujours aussi élégante grâce à ses épaules très droites. Je me souviens d’une incroyable chute de reins, d’adorables petits seins ronds et de plein d’autres particularités anatomiques aussi charmantes. Elle me regarde, esquisse un sourire qui prouve qu’elle m’a identifié, puis commande sèchement : « entre ! ». Son intérieur rustique est resté le même, si ce n’est une imposante véranda qui borde un chemin de terre et la nature, faite de champs et de bois, toute proche. Elle m’y fait pénétrer et commande à nouveau d’une voix sèche : « déshabille-toi, s’il te plaît ! ». Je ne sais comment me comporter. Là ou je suis, n’importe qui peut me voir depuis le domaine public. J’ai un peu peur et mon cœur s’accélère. Mais elle me connaît et sait que je ne déteste pas m’exhiber. Elle répète d’une voix plus douce : « à poil te dis-je ; tu ne vas pas commencer à me résister ...
    ... aujourd’hui ! ». Mon cœur s’emballe encore et je commence à déboucler ma ceinture. Mon pantalon s’affaisse doucement vers le sol dévoilant au passage mes cuisses dodues et mes mollets bien marqués. Comme d’habitude à la saison chaude, je ne porte rien dessous, ce qu’elle apprécie d’un sourire gourmand. Je trousse mon tee-shirt sans me faire prier. J’ôte mes sandalettes d’un geste des pieds et les dégage du pantalon avachi. Me voici totalement nu, exposé en vitrine à la vue de deux promeneurs qui approchent sur le chemin. Mon sexe s’est redressé et j’ai honte. Mais plus j’y pense et plus il se redresse. Une étincelle traverse le regard de mon amie. « Branle-toi ! », dit elle. Sans que je le décide, une main monte sur mon téton tandis que l’autre commence à me caresser l’aine puis glisse sur mes bourses et mon phallus qui se redresse encore. Mon hôtesse s’est effondrée dans une bergère et ses mains se sont engagées dans la ceinture de son survêtement pour se masser compulsivement le bas ventre. Des marcheurs, un couple, se sont arrêtés derrière la vitre de la véranda et me contemplent avec gourmandise. Je rudoie violemment mon sexe tandis que mon autre main glisse doucement vers mes fesses et les caresse un moment. Trois paires d’yeux me dévorent du regard. Je redouble d’ardeur, entre un doigt dans mon cul et me tords littéralement en sentant venir l’orgasme. Mon foutre s ’éparpille au sol et je reste là, debout et indécent, à peine porté par mes jambes qui flageolent. Mon amie à les ...
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