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SOUMIS (1)
Datte: 26/12/2017, Catégories: Trash,
... yeux révulsés et lâche un petit cri. Les marcheurs s’enfuient d’une démarche malaisée. Je n’ose bouger et reste ainsi seulement éclairé de rouge par le soleil déclinant. Lorsque mon amie retrouve ses esprits, elle m’ordonne de la suivre dans un appentis voisin. Je dois sortir de la maison conscient de mon absolue nudité. Elle en extrait des sangles et des chaînes dont je ne vois que trop l’usage. Quelques minutes après, me voici entravé aux chevilles, les mains liées dans le dos, affublé d’un collier et traîné en laisse. Je me courbe et avance derrière ma nouvelle « maîtresse ». Mes entraves m’obligent à écarter les jambes pour garder l’équilibre, ce qui renforce l’indécence de mon attitude. Je suis grotesque et me sens terriblement impudique. Arrivés dans la cuisine, mes poignets sont déliés et je suis attaché, bras levés à deux chaînes qui pendent du plafond. « Bienvenue dans ta nouvelle vie ! » me dit ma nouvelle maîtresse en riant. A l’heure du dîner, un homme d’une soixantaine d’années entre dans la maison comme s’il y habitait. Il me contemple avec un sourire égrillard et dit à ma maîtresse : « je peux ? ». Sur un signe d ’assentiment de la part de celle ci, il baisse son pantalon et enduit de salive sa mince verge qu’il approche tendue de mon cul. J’essaie d’esquiver l’outrage, mais il me retient par les hanches . Il hésite, mais elle insiste : « vas-y, il adore ça ! ». Je sens son vit s’engager doucement en moi de plus en plus profondément. A la douleur succède un ...
... étrange sentiment de désir et lorsqu’il accélère le mouvement, je suis complètement dilaté. Je sens ses couilles battre mon aine et nos deux peaux se télescoper en un claquement caractéristique. Mon cœur bat la chamade et j’ai terriblement chaud. Je pousse un long cri suraigu et mon corps s ’affaisse douloureusement sur ses chaînes. Il se soulage dans mes intestins et se retire. Je me sens alors diablement mal et angoissé. Ma maîtresse me détache les poignets et m’autorise à à faire un peu de toilette avant de manger avec eux à table en signe de reconnaissance pour mon obéissance. Le soir, alors que l’amant a quitté les lieux, elle devient plus douce. Je peux lui peloter ses petits seins puis caresser son sexe et son cul. Je peux enfin la prendre dans la position du missionnaire. J’aurais sans doute pu la sodomiser si la fatigue ne m’avait provoqué une panne irréparable. Elle me lie à nouveau les mains dans le dos et accroche mes chaînes à un anneau mural. Je m’endors, près de la cheminée couché en chien de fusil. Jusqu’au petit matin, je vais rêver de sévices, tant ma position inconfortable et mes entraves induisent mes états d’âme. Vers quatre ou cinq heures, après plusieurs réveils douloureux, deux jeunes couples de retour d’une sortie nocturne me trouvent en travers de leur chemin. De sa chambre, ma maîtresse m’ordonne de satisfaire la sexualité de ses enfants. Je prête donc ma bouche et mes fesses aux mains des filles et aux vits des garçons. L’une des fêtardes torture mon ...