-
SOUMIS (1)
Datte: 26/12/2017, Catégories: Trash,
... cul étroit en essayant de le fister. Je me prête au tourment mais finis par m’évanouir de douleur. Mon corps inerte ne les intéresse bientôt plus et ils me laissent enfin me reposer. Dés le lever du jour, ma maîtresse me réveille et m’oblige à lécher chaque recoin de son anatomie pour en chasser les miasmes de la nuit. J’adore ces odeurs poivrées. Je laisse longuement traîner ma langue dans la raie de son cul au point que je réveille son désir. Je peux enfin l’enculer tout à mon aise. Elle me gratifie d’un chapelet de petits cris qui me font penser à des orgasmes multiples. Sitôt le petit déjeuner passé, elle me vêt d’une courte tunique sans manches qui me couvre à peine le bassin, me chausse de mes sandales et m’équipe d’une longue laisse. Cette tenue m’excite et j’en ressens les effets sur mon rythme cardiaque, ma respiration et une agréable sensation sur ma poitrine, mes fesses et mon bas ventre. Nous effectuons une longue promenade dans la campagne au cours de laquelle je suis autorisé à faire mes besoins à condition de rester en vue de mon bourreau qui ne me quitte pas des yeux. Son regard exprime en même temps le mépris et l’envie. J’ignorais que ma modeste anatomie pouvait avoir de tels effets. Par jeu elle trousse ma tunique sur les épaules ce qui renforce ma sensation de gène et de plaisir. Par moments, elle m’attire contre elle et me soumet à quelques caresses intrusives. Lorsque nous passons devant un immense jardin, ou un vieil homme est occupé à nettoyer ses ...
... plantations, ma maîtresse m’ordonne de me dénuder et d’aller le rejoindre. Je m’y soumets presque avec plaisir. Le jardinier me regarde d’un œil torve et pince divers endroits de mon intimité. Mon cri de douleur lui tire un sourire et il arrache une fine badine plantée là comme tuteur. Il me fouette les fesses et le dos. J’esquive les coups autant que je peux et cela excite mon bourreau qui commence à rechercher les zones les plus sensibles. Je comprends vite que je dois me soumettre et ne bouge plus. Il s’arrête enfin et caresse doucement les blessures sur mon corps nu. Ma maîtresse me couvre à nouveau sommairement et nous partons. Une nuit, les sens en révolution comme souvent, j’ai fait ce rêve : Au café du village , une jeune femme est attablée, un énorme chien fauve à ses pieds. Ma maîtresse s’installe face à elle alors que je me couche, à côté du chien. A mon approche ce dernier grogne et je me plaque au sol en signe de soumission. Il se lève et vient naturellement renifler mon anatomie. Sa truffe humide écarte mes fesses et sa langue commence à lécher mon cul. Cette caresse met mes sens en émoi, mon cul s’échauffe et mon sexe se dresse à demi. Le chien perçoit mon excitation et redouble d’attentions. Je soulève mon bassin pour faciliter la caresse tout en laissant mes épaules au sol. Il inonde de sa bave ma rondelle et je sens sa langue étroite qui s’engage dans mon cul. Je me tortille de plaisir. Je sens le regard des deux filles vissé sur nous dans un silence pesant. La ...